jusqu'où

rapidement je vis deux hommes corpulents et casqués me dévisager surpris mais surtout leur regard vicieux s'allumer en me détaillant du regard avec des commentaires graveleux.

Ils approchèrent chacun un côté du bidet se plaçant de chaque coté de mes cuisses, leurs regards se décillaient pendant de constater mon état de vulnérabilité, l'un bascula le siège des W.C et approfondit mon cul. Le premier prit son sexe gigantesque et le pénétra en moi sans aucun égard en me parlant me disant qu'il avait toujours voulu violer une petite gaïjin et voila qu'on lui en servait une sur des toilettes, l'autre

sa main glissa sur mon sein gauche, il se saisit de mon mamelon avec son index et son pouce, le pinçant fort, je gémis de plaisir. Sa bouche se posa sur la mienne et il m'embrassa avec une brutalité, sa langue s'insinua dans ma bouche, me forçant à l'ouvrir. Je sentis son haleine chargée de bière et de nicotine, et son goût âcre m'écœura.

L'homme qui m'embrassait me mordit la lèvre inférieure, me faisant tressaillir de douleur. Son camarade, toujours enfoncé en moi, me parlait d'une voix rauque, me disant que j'étais faite pour ça, que j'étais née pour être troussée par des hommes comme lui. Ses paroles me firent grimacer de honte mais aussi de plaisir d'être ainsi avilie, mais je ne pouvais pas répondre, la bouche de l'autre homme m'empêchant de crier.

J'étais coincée entre mes violeurs la bouche occupée par le premier et celui qui m'avait pénétrée me parlant pendant que j'arrivais difficilement à gérer mes sensations et mes émotions entre une soumissions non contrôlée et mes pulsions bestiales intérieures.

L'homme qui m'embrassait se mit alors à gémir, écrasé de plaisir, il jouissait en moi, encore et encore. Je ne voyais plus le jour, engloutie sous lui, ses jambes écartelant mes cuisses.

L'homme qui m'embrassait se mit à jouir avec ****, son corps se contractant spasmodiquement contre le mien, ses jambes tremblant de plaisir. Ses lèvres se décollèrent les miennes, laissant échapper un filet de salive qui coula le long de mon menton. Il se retira de ma bouche, haletant, et me contempla avec une expression de satisfaction bestiale. Son camarade, toujours enfoncé en moi, commença à accélérer ses mouvements, ses coups de reins devenant plus violents et plus rapides.

L'homme qui était toujours en moi, augmenta la cadence de ses mouvements, ses coups de reins devenant de plus en plus violents, moi étant toujours maintenue par l'autre homme, il se mit à gémir de plaisir, son corps se tendant sous l'effort, ses mains agrippées à mes hanches, il me tenait comme dans un étau quand son sperme m'envahit celui-ci finit par déborder se cumulant avec les précédentes visites, l'homme se retirant prit plusieurs photos de mon sexe et de moi dans cette position alors que j'étais occupée par son camarade.

L'homme qui avait pris des photos de mon sexe et de moi dans cette position se mit à rire.

"Tu es une sacrée salope, toi!" dit-il en me regardant avec un sourire carnassier.

Je ne pus répondre, la bouche toujours occupée par l'homme qui était en train de me violer. Il me tira brutalement la tête en arrière, me forçant à le regarder dans les yeux.

"Tu aimes ça, hein ! d'être une toilette vivante ?" dit-il, ses yeux brillant de vice.

je succombais évidemment à cette situation à tel point que je jouis avant même qu'il n'ait terminé ! L'homme qui était en moi était à bout de souffle, son visage était déformé par l'extase et il bredouillait des paroles incohérentes.

Le second Japonais, qui n'avait pas cessé de me regarder pendant toute la scène, se mit à rire.

J'étais groggy quand les deux hommes partirent après m'avoir craché dessus pour me signifier le mépris qu'ils avaient pour moi. le second me remit le masque pour que je ne puisse plus voir.