entre les mains d'un pervert et de ma lubricité

il ouvrit sa braguette après s'être frotté longuement contre moi, son sexe allait et venait entre mes cuisse, je gémissais de plus en plus.

Il libéra sa verge, rigide et sombre, qui heurta mes cuisses, me faisant tressaillir. Sa main droite me maintenait fermement plaquée contre la vitre tandis que sa main gauche s'activait à me soupeser, me caresser, me titiller. Ses doigts expertes harcelèrent mon clitoris, faisant exploser des étincelles de plaisir dans mon ventre. Je me mordais les lèvres pour ne pas hurler, mais des gémissements étouffés s'échappaient malgré moi.

Mes gémissements se firent plus intenses, mes cuisses se serrèrent involontairement autour de sa main, tandis que ses doigts continuaient à me titiller et à me caresser. Sa verge, toujours rigide, frôlait mes cuisses, me faisant tressaillir à chaque contact. Ses lèvres, chaudes et humides, effleurèrent mon oreille, me faisant frémir. Son souffle chaud me fit l'effet d'une caresse, tandis que sa langue léchait légèrement mon lobe après qu'il ait retiré son masque.

il prit son sexe en main me retourna,

-finis de me faire bander avant que je te montre un vrai homme.

je me mis à genoux ma langue lécha son gland, il gémit puis je me mis à lécher son sexe, ses testicules.

Sa peau saline explosa dans ma bouche, son goût âcre et intense se mêlant à la nicotine et à l'odeur musquée que je sentais plus tôt. Mes lèvres s'adaptèrent à la forme de son sexe, mes gencives serrées autour de lui, je le léchai en mouvements lents et réguliers. Ses testicules, lourds et sensibles, palpitaient sous mes caresses, je les sentais se contracter légèrement à chaque fois que je les touchais du bout de ma langue.

Sa respiration s'accéléra, ses hanches se soulevant légèrement à chaque mouvement de ma langue. Ses doigts se glissèrent dans mes cheveux, me tenant fermement la tête en place tandis qu'il se laissait aller à la sensation. Je sentais son sexe durcir encore, ses testicules se contracter, et je savais que je l'avais presque à sa limite. Ses jambes commencèrent à trembler légèrement, ses muscles se raidissant à chaque seconde.

• c'est bon arrête,

brutalement il me releva, me retourna et me plaqua contre la vitre de la rame et sans plus de manière me pénétra sèchement. je poussais un "ah" de ravissement

J'eus l'impression que mon corps allait exploser, que mes organes internes allaient être déchirés par sa ****. Mais en même temps, je sentais une vague de plaisir me submerger, comme si mon corps avait été conçu pour accueillir cette douleur. Ses hanches se mirent à bouger, ses coups de reins devenant de plus en plus rapides et violents. Je sentais son sexe durcir encore, ses testicules palpiter contre mes fesses. Ses doigts se glissèrent sous ma jupe, me relevant la culotte et me caressant le clitoris.

Il continua à me pénétrer, ses coups de reins devenant de plus en plus rapides et profonds. Je sentais son sexe s'enfoncer plus profondément en moi, me touchant des endroits que je ne savais pas possibles. Mes gémissements se firent plus forts, mes mains se mirent à agripper la vitre de la rame, cherchant quelque chose à quoi me raccrocher. Je sentais mon corps se tendre, mes muscles se contracter, mes jambes trembler.

Je sentais son sexe s'enfoncer plus profondément en moi, me touchant des endroits que je ne savais pas possibles. Mes gémissements se firent plus forts, mes mains se mirent à agripper la vitre de la rame, cherchant quelque chose à quoi me raccrocher. Je sentais mon corps se tendre, mes muscles se contracter, mes jambes trembler.

Il continua à me pénétrer, ses coups de reins devenant de plus en plus rapides et profonds, je le sentis se tendre quand enfin il éjacula. Sa semence chaude et épaisse se répandit en moi, me remplissant d'une chaleur intense. Je sentais son sexe se relâcher, ses muscles se détendre, mais il resta en moi, me tenant fermement contre la vitre de la rame. Ses doigts se glissèrent sous ma jupe, me caressant le clitoris, me faisant gémir de nouveau. Je sentais mon corps se relâcher, mes muscles se détendre, mes jambes trembler encore.

Il se retira lentement de moi, me laissant sentir son sperme couler le long de ma cuisse, sans un regard pour moi il sortit à l'arrêt avant celui de mon université, me laissant hagarde et pourtant ravit de cette rencontre.

Je restai là, figée contre la vitre de la rame, mes jambes encore tremblantes, mon corps brûlant de la chaleur qu'il m'avait laissée. Je sentais son sperme couler le long de ma cuisse, une sensation étrange et nouvelle pour moi. Je baissai les yeux, mes regards se posant sur la tache humide qui se formait sur ma jupe. Mon cœur battait encore à tout rompre, mes poumons brûlaient d'avoir respiré si fort.

Je pris une grande inspiration, essayant de me calmer, de revenir à la réalité.