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Chapter 12
by Teyla
What's next?
les transports en commun japonais
Je me mis à courir jamais je n'y arriverais l'université était au bout de la ligne de transport en commun, la chance heureusement était avec moi je rentrais dans la rame alors qu'il y avait un monde pas possible, les hommes me regardaient avec concupiscence, j'était en sueur ma veste d'étudiante japonaise était ouverte et laissait deviner mes formes, ma jupe était coincé et laissait voir le début de mes fesses mais je ne pouvais pas le voir.
Rapidement je sentis des mains se glisser sous ma jupe, éveillant mes pulsions, à chaque sortie, mon pervers me tirait vers le fond de la rame dans un coin, devenant toujours plus entreprenant alors que je me mordais les lèvres pour ne pas gémir.
- encore presque à chaque fois il m'arrivait quelque chose dans ces fichus transports de pervers.
La main se faufilait toujours plus haut, mes cuisses étaient en feu, je sentais mon corps s'abandonner, les doigts se glissaient sous ma culotte, je me mordais les lèvres pour ne pas gémir, les yeux fermés, je me laissais aller, le monde autour de moi devenait flou, seuls comptaient les sensations qui montaient en moi.
Les doigts s'enfonçaient plus profondément, mes cuisses se serrèrent involontairement, la main se retira légèrement, puis reprit son exploration, mes yeux toujours fermés, je me laissais emporter par les sensations, le monde autour de moi n'existait plus, seul comptait le contact de ces doigts audacieux. La rame s'arrêta brusquement, les passagers se bousculèrent, mais la main ne se retira pas, elle continua à me caresser, me faisant gémir intérieurement.
comme j'allais au terminus la rame se vida à part moi et mon harceleur, il me plaqua contre la vitre, un homme avec un masque chirurgical me dit
- tu aimes ça petit gaïjin, je vais te montre ce qu'est un vrai homme,
il baissa ma culotte, j'étais pantelante sans ****, j'abandonnais la moindre résistance et m'abandonnait à lui.
Sa bouche s'approcha de mon oreille, son souffle chaud faisait frémir ma peau, je sentais son haleine chargée de nicotine et de quelque chose d'autre, quelque chose de musqué. Ses mains me maintenaient plaquée contre la vitre, je sentais son érection contre mon ventre, il me faisait mal, mais je ne pouvais pas bouger.
- avoue que tu l'a veut.
gémissante,
- oui monsieur
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