Souillée et avillie

Le silence, l'inconfort d'être sur ces toilettes complètement offerte était odieux et pourtant jamais je n'avais ressenti une telle excitation au bout d'un quart d'heure je ne saurait être sûre, la porte s'ouvrit .

• Uzachi ce n'est pas drôle libère moi fais moi ce que tu veux mais là ce n'est plus drôle.

Le silence me répondit pourtant je savais que je n'étais pas seule, quand en fin j'entendit un pantalon tomber au sol et je sentis que quelqu'un me prit par les cuisses. Je poussais un petit cri de peur et de surprise.

Les mains qui me tenaient les cuisses étaient rudes et calleuses, elles me serrèrent fort, me faisant grimacer de douleur. Je sentis une haleine chaude et alcoolisée sur mon visage, puis une bouche écrasa la mienne, me faisant ouvrir les lèvres de ****. Une langue épaisse et rugueuse me pénétra la bouche, me faisant déglutir de dégoût. Les mains me firent pivoter sur les toilettes, me présentant mon dos à l'inconnu.

Cette position restreignit la longueur des chaînes ce qui fut plus douloureux encore mais surtout je sentis un sexe qui me pénétra sans merci, il était gros et dur, et il me déchirait l'intérieur, je sentais mon corps se rebeller contre l'invasion, mais les mains calleuses me tenaient fermement, me maintenant en place. L'homme derrière moi grognait et haletait, son souffle chaud sur ma nuque, il me pénétrait avec ****, ses coups de reins étaient violents et rapides, je sentais mon corps se soulever à chaque impact.

je gémissais sous ses assauts, rapidement je sentis son corps se crisper et son sperme s'écouler en moi alors qu'il poussait un cri de triomphe au moment où la porte s'ouvrit.

Un rire sarcastique se fit entendre.

• jolie la petite gaïjin faudra remercier qui nous a fait ce cadeau,
• oui tiens je te laisse la place elle est chaude.

Les deux hommes échangèrent un regard complice, et celui qui venait de se retirer de moi se dirigea vers la porte en ajustant son pantalon. Il marmonna quelque chose d'incompréhensible en passant à côté de l'autre homme, qui lui répondit par un rire gras.

Le deuxième enleva le masque qui masquait ma vision son regard balayant mon corps nu et enchaîné. Il me sourit, découvrant des dents jaunies par le tabac, et se mit à se déshabiller lentement, son regard ne me quittant pas des yeux.

Je remarquais pour un japonais qu'il était grand et musclé des tatouages m'informaient qu'il appartenait probablement aux Yakuza, figé de peur, je le vis approcher son sexe qui s'était durci rapidement à la vue offerte qu'il avait devant lui, il le prit dans sa main, serrant résolument le long membre jusqu'à ce que le gland de chair coloré apparaisse dans toute sa gloire.

J'étais vraiment impuissante avec ses chaînes mais je me demandais si j'aurais voulu me libérer si j'avais pu.

Il se rapprocha de moi, son sexe tendu vers mon visage, et je sentis une odeur de sueur et de tabac qui me fit grimacer. Il me prit le menton et me força à lever la tête, ses yeux plongeant dans les miens avec une intensité qui me fit frissonner. Sa main était rude et calleuse, mais ses doigts étaient habiles et me firent ouvrir la bouche avec une facilité déconcertante. Il glissa son sexe entre mes lèvres et je sentis son gland dur et chaud qui me touchait la langue.

Sa langue racla le fond de ma gorge, me faisant déglutir pour tenter d'écarter ce goût âcre et salé. Il poussa un grognement de satisfaction en sentant ma langue se soulever contre la sienne, et ses doigts se resserrèrent sur mon menton, me forçant à rester immobile. Ses yeux, deux puits sombres et impitoyables, me fixaient avec une intensité qui me faisait frissonner.

Incapable de me contrôler je commençais à aller et venir le long de ce beau spécimen de sexe pour le japon.

Je sentis son sexe gonfler et durcir dans ma bouche, et il commença à faire des mouvements de va-et-vient, me forçant à l'avaler de plus en plus profondément. Je sentais son souffle devenir plus rapide et plus fort, et je savais qu'il était sur le point de jouir. Soudain, il retira son sexe de ma bouche et se retira de moi, éjaculant sur mon visage et mon corps.

• Merci, jolie gaijin, dit-il en se rhabillant.

il s'essuya son sexe avec du papier toilette qu'il jeta sur moi en sortant il héla des gars

• eh vous deux allez aux toilettes vous y trouverez de quoi vous amuser.