Shibari

Mon petit job dans un konbini était sympathique, parfois quand on me dévisageait je me demandais si cette personne avait assisté à ma nuit dévoyée ou si c'était parce que j'était une mignonne gaijin vu le nombre d'hommes et de garçons qui venaient, mais finalement tout se déroula magnifiquement bien.

je reçus un message,

• quand tu rentreras dans la maison, tu seras nue, tu te mettras à l'entrée devant la caméra que j'ai installé à quatre pattes, tête baissée cul vers l'entrée ne regarde pas quand je rentrerais, attends mon retour sans bouger, je te surveille.

je rougis en pensant qu'il me filmerait voir montrerait ces images à des inconnus et pourtant mon excitation monta et lubrifia mon intimité, j'avais toujours fantasmé sur les perversions que j'avais vu sur internet au japon mais jamais je n'aurais pensé en faire l'expérience.

en rentrant je me mettais nue pliais proprement mes affaire et je me mis dans la position indiqué par Azashi, je voyais le voyant rouge de la caméra qui était active, je restais ainsi pendant une heure j'imaginais Azashi qui montrait la petit gaijin à ses amis et pourtant cette idée m'excitait, je ne pensais pas être aussi exhibitionniste.

j'entendis la clé tourner et finalement la porte s'ouvrir, je sentis qu'il posait ses clés et ses chaussures sur mon dos je frémis sous la fraîcheur du métal de la clé, il me présenta son journal qu'il me fit porter avec ma bouche.

• c'est bien tu es une bonne chienne, attends moi je vais me préparer pour la suite, ne fais rien tomber je le saurais me fit il en montrant la caméra

j'attendis un moment dans cette position humiliante ma bave commençait à couler et à imbiber le journal dans ma bouche.

Il revint avec des cordes, il me débarrassa des chaussures, du journal et des clés me releva et commença à m'attacher avec les cordes, il serrait avec **** mes liens me faisant grimacer parfois quand la corde frottait et pinçait ma peau. quand il eut finit il me tourna vers la glace :

- tu es magnifique c'est une version soft je pourrais te faire plus mal mais ce n'est pas le but pour le moment, je vais te présenter à quelqu'un qui m'a beaucoup appris, il me posa un collier avec un laisse et un large pardessus sur les épaules qu'il serra à la ceinture mais on devinait ma nudité dessous.

il me tira à l'extérieur, j'avais du mal à marcher car chaque pas faisait frotter la corde dans mon intimité alors que mes bras attachés à l'arrière me cambraient et amplifiait ce frottement. je gémissais mais je n'arrivais pas à savoir si c'était de douleur ou d'excitation, en fait des deux je pense.

il me fit monter à ses côtés ouvrant le pardessus, me mit la ceinture de sécurité de telle manière qu'elle amplifiait le frottement sur mes parties les plus sensibles, cela devenait difficile à supporter.

• tais-toi regarde tu mouilles déjà ta corde.

je rougis de honte alors qu'il démarrait et commençait à rouler où m'emmenait-il ?