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Comme un songe je sentais qu'on me détachait et que l'on m'emmenait à un pilori alors que mes jambes me portaient à peine, on me libéra de mon bâillon.

Un seau d'eau glacé me percuta et me ramena totalement à la conscience, toujours nue, postée à côté de moi une femme en kimono qu venait de me jeter au visage l'eau glacée, me regardait avec mépris et quand elle sourit avec un air cruel je frémis autant par le froid que par un frisson de peur.

J'étais entourée par un cercle d'une vingtaine d'hommes qui semblaient attendre mais quoi ?

A ce moment je fus pénétrée brutalement par un sexe, qui m'empala littéralement si brutalement que mes épaules percutèrent la planche verticale du pilori. Cette fois je hurlais à la fois de surprise, douleur mais aussi de plaisir frustée tant que je portais le bâillon.

Pendant de longues minutes il me pilona sans merci mais avec une telle maestria qu'il m'amena au bord d'un orgasme, mais jouit avant je sentais son sperme m'inonde.

Se retirant il me claqua les fesses,

-ah mes amis elle est serrée comme j'aime un vrai gant de velours, à vous ses trous vous appartiennent, si elle est rétive n'hésitez pas à la rappeler à l'ordre alors qu'il me reclaquait les fesses.

Un homme se présenta devant moi et sortit son sexe devant mon incompréhension giffla,

• suce gaijin.

Timidement je sortis ma langue et je commençais à lécher son gland avant d'enserrer son sexe entre mes lèvres quand un autre se présenta derrière moi en me sodomisant sèchement, je percutais à nouveau le pilori alors que le sexe dans ma bouche percutais ma gorge.

Je cru que j'allais m'évanouir j'étais vierge analement heureusement le sexe n'était pas monstrueux mais c'était suffisant pour me distendre et me faire souffrir, sans préparation clairement c'était horrible, et il me violait littéralement ne prenant aucune garde à moi, vu les insultes il n'aimait pas les gaijin et se défoulait sur moi avec un plaisir haineux certain, d'autant qu'il frappait de toute ses forces mes fesses à chaque pénétration, alors que l'autre suivant son exemple se mit à me pilonner la gorge jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche, je faillis étouffer, du sperme remonta même et coula même de mon nez ce qui les amusa beaucoup.

Celui qui me sodomisait se retira brutalement me faisant grimacer, laissa sa place à un autre qui lui s'attaqua à mon vagin mais le sodomiseur se présenta devant moi alors que j'avalais le reliquat de sperme, une odeur nauséabonde m'assaillit, avec dégoût après une gifle j'accueillis son sexe recouvert du cloaque de mon anus.

celui qui avait prit sa place lui était un amant qui était un dieu du sexe, pendant que l'un massacrait ma bouche en m'insultant l'autre était vraiment incroyable lorsque la brute éjacula, j'eus un orgasme comme jamais j'étais une poupée du vice.

Le sperme coula à flot de ma bouche je n'y pouvais rien mon corps m'échappait à cause de mon orgasme, alors que mon amant divin lui me soulevait pour pénétrer au mieux mais du coup m'entrainait à un niveau jamais atteint dans le plaisir avant à nouveau m'honorer de son éjaculation.

Mais je n'eus pas le temps de me remettre j'étais assaillie de toute part, combien de fois j'ai été prise, je ne sais plus certains testèrent tous mes trous, je n'étais plus qu'un sac à foutre complètement ravagé par plusieurs orgasmes, mon corps était douleur et plaisirs ultimes. le sperme coulait de partout, mon corps était poisseux et collant , il m'avait échappé je tremblais intégralement c'était une expérience ultime plus et je crois que j'en serais morte, quelques goutte de sang par terre je ne préférais pas y pense, j'avais mal mais c'était si bon.

Azashi me libéra, je tombais au sol complètement désarticulée, il me regarda avec un sourire.

• alors heureuse de l'expérience,
• j'ai cru mourir.
• oui on appelle ça je crois la petit mort tu veux que je te rende tes photos et vidéos ?
• non si tu me pousses plus loin la prochaine fois,

il soupira me regarda un air de dire "mais elle n'a donc pas de limite".

• comme tu voudras mais ne vient pas pleurer après.

exténuée je tombais évanouis ou endormit peu importait j'avais découvert un univers sans limite.

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