Chapter 5
by Teyla
What's next?
son domaine
il redevint silencieux et me tendit sa main,
- viens je vais te montrer notre chambre ainsi que les petits secrets que j'ai aménagé si je la rattrapais avant que j'apprenne sa mort.
quand j'entrais au deuxième étage, nous aboutissions dans une véritable suite parentale, une grande chambre luxueuse mais sobre à part un lit ressemblant à un lit à baldaquin mais moderne, une grande salle de bain aussi grande presque que son appartement et que l'on pouvait voir du lit par une vitre qui pouvait s'obscurcir à distance, une buanderie immense où la moitié était occupée par des vêtements masculins et l'autre a priori ceux qui m'étaient destinés.
Mon "mari" se dirigea vers le miroir et appuyant sur un bouton caché celui-ci dévoila un escalier qui montait et descendait,
- vient suis moi, ce que je fis, nous montâmes, avant d'arriver à une chambre d'un blanc parfait sous les toits sans ouverture vers l'extérieure, possédant une petite douche, un sanitaire, et une petite kitchennette, une armoire, une télé, un bureau et un portable dessus.
- tu seras amenée à venir ici quand je te le dirais ou si tu veux avoir ton coin à toi si je t'y autorise, tu peux la décorer comme tu le veux, je peux t'y enfermer aussi si je le souhaite.
je hochais la tête un peu résignée, nous revînmes au miroir et je demandais où allait l'escalier qui descendait, il sourit avec un air sadique,
- tu verras c'est l'endroit où tu souhaiteras le moins être possible ma salle de jeu si je peux résumer ainsi.
je frissonnais nous pénétrions à nouveau dans la chambre, ils s'allongea habillé sur le lit,
-déshabille toi sensuellement pour voir si le jeu en vaut la chandelle,
rouge comme une pivoine, je commençais à me déhancher doucement je faisais glisser les hanses de ma robe sur le côté de mes épaules, descendant et remontant mon décolleté pour laisser voir mon soutien-gorgea avant de laisser tomber ma robe à mes pieds glissant une main sur mon intimité qui n'était plus occulté par ma culotte de l'autre main je décrochais la fermeture de mon soutien gorge tout en le maintenant un moment jusqu'à ce qu'il me dise d'enlever mes mains pour me dévoiler et de me faire tourner quand se figeant il se leva brutalement et se rua sur mois, je poussais un petit cri de peur.
-c'est quoi ça ? il montra sur ma fesse gauche une cicatrice.
-je ne sais pas j'ai toujours eut ça avant même d'être adoptée
- ma femme avait la même sur la fesse droite, il me regarda avec suspicion avant de déclarer, j'ai hâte d'avoir le rapport du détective que j'ai embauché peut être que toi aussi qui sait.
Il m'embrassa amoureusement, puis descendit le long de ma gorge m'embrassant toujours, avant de me sucer mon téton droit me tirant un frémissement ainsi qu'un gémissement, sa main gauche parcourant ma hanche de manière divine alors que la main droite se glissait jusqu'à mon intimité avec lequel il joua me tirant des ondes de désirs, de frémissements, j'haletais de plus en plus, j'approchais d'un plaisir qui s'annonçait délicieux quand il stoppa d'un coup.
- tu rêves ma belle tu est là pour me satisfaire pas l'inverse, je ne suis plus aussi généreux qu'avant, il me cingla les fesses d'une claque qui me tira un petit cri tant la douleur fut forte et surprise alors que j'étais dans un état de sensualité.
- va mettre cette nuisette et allons dormir, ce soir ce sera tout je vais te laisser te remettre et te laisser frustrée, interdiction de te finir toute seule compris sinon tu descendra dans ma salle de jeu plus tôt que prévue
je m'exécutais et je faisais la moue c'était profondément égoïste mais je n'avais plus voix au chapitre. Je m'endormis tardivement frustrée, un baiser me réveilla je n'avais pas rêvé.
tu as une heure pour te préparer avant que le médecin ne vienne pour t'examiner et faire les prélèvements nécessaire.
- oui Phil,
- quand nous sommes seuls ensemble appelle moi maître.
-bien maître
- c'est mieux sache que j'ai contacté l'hôpital en Suisse, j'ai payé ta prochaine échéance et cela durera jusqu'à ce qu'à la fin du contrat, si tu m'as satisfaite je paierais le solde.
-merci maître.
nous primes un petit déjeuner copieux sur une table basse pas un mot fut prononcé à part qu'il me regardait en permanence, rien ne manquait pour mon appétit qui n'était pas important car j'étais toujours frustrée, quand il ouvrit la boucje
- va te laver je te dirais quoi faire au fur et à mesure.
What's next?
Offre ou offerte
Nurse ou soumise
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