signature

bien passons à la signature du contrat, je le regardait un air étonné.

• vu les montants en jeu désolée cousine les liens familiaux ne suffisent pas et au moins tu sauras à quoi t'attendre.

Il pausa une pille de papier une partie était purement économique et formalisait les conditions de création, bilan économique, condition de fonctionnement voir rupture et là je dois avoué tout était fait pour que je paye un montant monstrueux de pénalités de sanctions juridiques autant signer mon arrêt de mort si je rompait le contrat l'autre partie était digne du livre 50 nuances de Grey et allait même au-delà.

Je sentis mon estomac se nouer en lisant les termes du contrat, mes yeux glissant sur les pages avec un sentiment de nausée. Mon cousin me tendait un stylo, son sourire toujours accroché à son visage, et je le pris avec des doigts tremblants. Il me montra où signer, et je posai le stylo sur le papier, la pointe hésitant au-dessus de la ligne. Puis rassemblant mon courage je signais les deux exemplaires un pour moi et un autre pour lui.

• tu vois ce n'était pas difficile.

Je sentis un frisson parcourir mon dos alors que je rendais le stylo à mon cousin, ses doigts effleurant les miens lorsqu'il le prit. Il sourit de nouveau, comme s'il savait exactement ce que je ressentais, et glissa les deux exemplaires du contrat dans une poche intérieure de sa veste. Puis, il se leva et s'approcha de moi, son regard toujours fixé sur le mien.

Je me sentis soudain très petite, très vulnérable, alors qu'il se tenait au-dessus de moi, son érection bien visible sous son pantalon.

• vient je vais te montrer quelque chose,

je le suivais il m'emmena à une porte qu'il ouvrit avec une clé à l'intérieur il avait reconstitué une parfaite chambre rouge avec un croix de saint- andrédes rateliers avec des fouets, cravaches, .... un pilori, un lit à baldaquin.

• tu m'avais raconté que tu avais aimé le livre te voilà exaucé ma chère cousine.

Je me sentis un frisson glacial courir le long de ma colonne vertébrale alors que je contemplais l'arsenal de plaisir et de douleur qui s'étalait devant moi. Mon cousin s'approcha de moi, son haleine tiède parcourant ma peau, et murmura à mon oreille : "Je vois que tu apprécies mon goût pour le détail." Ses lèvres frôlèrent mon lobe d'oreille, faisant naître un frémissement involontaire en moi.

• ah pour plus de facilité je t'appellerais Miel quand tu seras soumise comme ça tu sauras comment te comporter, tu comprends ?

Je sentis mon cœur s'emballer dans ma poitrine alors que mon cousin prononçait le mot "Miel" avec une intonation douce et possessive. Ses lèvres effleurèrent toujours mon lobe d'oreille, envoyant des frissons le long de ma colonne vertébrale. Je fermai les yeux, essayant de me ressaisir, mais mon esprit était déjà en train de dériver vers un endroit sombre et inquiétant. Mon cousin s'écarta légèrement de moi, et je sentis son regard peser sur moi comme une menace voilée.

• tu es toujours vierge ?

figé de stupéfaction, je hochais la tête.