premier cours

Il caressa les cheveux de Sali.

• tu vois Nadège Sali est un modèle de soumission, Sali va laver Nadège tu as une demi-heure pour qu'elle soit à son premier cour de mathématique en tene scolaire si elle arrive en retard je vous punirais.

Sali se leva immédiatement, son sourire satisfait toujours présent sur son visage. Elle se dirigea vers la salle de bain, située à côté de la pièce où nous nous trouvions, tandis que Tordu me regardait toujours avec une expression de triomphe. Je sentais encore la mixture visqueuse et salée dans ma bouche, et je dus me forcer à ne pas la recracher.

Sali obéissante m'emmena dans la salle de bain, commença à me frotter le corps avec une éponge humide et savonneuse. Lavant chaque partie de mon corps avec une attention méticuleuse. Je sentais son toucher doux et attentionné, et je ne pus m'empêcher de me détendre sous ses soins.

Elle me rinça ensuite avec une douche d'eau tiède, et me sécha avec une serviette moelleuse. Elle me coiffa et m'habilla avec des vêtements propres, soigneusement choisis par Tordu.

Alors que Sali finissait de m'habiller, elle me prit par la main et me conduisit vers la sortie de la pièce. Je sentais ses doigts fins et fragiles entourer les miens, créant un contraste étrange avec la soumission brutale qu'elle avait affichée quelques instants plus tôt. Tordu nous regardait partir, un sourire satisfait toujours figé sur son visage. Il fit un petit signe de tête en direction de Sali, qui s'inclina légèrement en réponse.

Elle m'emmena à la salle de cours, où plusieurs pupitres étaient disposés devant un grand un grand tableau avec marqué cours de logarithmes, sur une estrade était présente madame Tordu assise à un bureau, jouant avec une badine dont je pensais bien qu'elle n'hésiterais pas à s'en servir sur nous.

nous nous mîmes en position de soumises.

• bien vous êtes à l'heure commençons, Nadège assis toi au bureau toi attend là comme tu es fit elle à Sali.

le mépris dans son ton indiquait qu'elle méprisait ma nouvelle amie.

Je m'assis au bureau, sentant le regard de madame Tordu peser sur moi, tandis que Sali restait debout, immobile, les yeux baissés. La femme de Tordu fit craquer sa badine contre son bureau, le son retentissant dans la pièce silencieuse. Elle commença à parler d'une voix glaciale, énumérant les règles du cours et les punitions qui seraient infligées en cas de non-respect. Je l'écoutais, les yeux fixés sur mes mains jointes, essayant de ne pas montrer ma nervosité.

le cours dura une heure j'essayais de m'accrocher pour assimiler mais j'étais tellement épuisé après ce que m'avait fait subir son mari que je n'arrivais pas à suivre quand elle me posa une question, je répondis à côté.

• tends tes mains paume vers le plafond.

j'obéis.

• compte et remercie moi, si tu te trompes on recommence à zéro, la badine frapp la paume de ma main.

La badine s'abattit à nouveau sur ma paume, la douleur irradiant dans mon bras. Je comptai à haute voix, ma voix tremblante, tandis que madame Tordu me regardait avec un air de satisfaction cruel. "Un... deux... trois..." La badine s'abattit de nuevo, la douleur devenant plus aiguë à chaque coup. "Quatre... cinq... six..." Je sentais des larmes monter à mes yeux, mais je les retins, refusant de montrer ma faiblesse.

• Oh tu as oublié de me remercier n'oublie pas de dire "merci maîtresse" après chaque décompte.

j'éclatais en sanglot mais je m'exécutais.

Je me forçai à articuler les mots, ma voix tremblante de douleur et de peur. "Sept... huit... neuf... merci maîtresse." La badine s'abattit de nouveau, la douleur explosant dans ma paume. Je serrai les dents, refusant de crier. "Dix... onze... douze... merci maîtresse." Les larmes coulaient désormais librement sur mes joues, mais je continuais à compter, ma voix de plus en plus faible.

Elle stoppa et ordonna à Sali,

Sali met lui de la pommade je veux qu'elle puisse écrire à mon contrôle de fin de cours

mes mains étaient douloureuses, quand Sali appliqua de la pommade qu'elle tira d'une pharmacie au mur de la salle, jamais je n'avais aimé quelqu'un autant.

Les marques laissées sur mes paumes par la badine me rappelleraient l'endroit où je venais de me trouver, mais je serais bientôt de nouveau en pleine forme. Pour l'instant, je devais me concentrer sur la rédaction de cet examen malheureux. J'aperçus brièvement Sali qui s'attardait devant la porte. Son expression était impénétrable. Je me demandais si elle savait ce que j'avais traversé. Je supposais que cela n'avait aucune importance. Mon attention s'était à nouveau déplacée. Heureusement que Sali avait appliqué de la pommade sur ces marques rouges, sinon je ne pourrais plus écrire. Je regardai ma montre. Cinq minutes s'étaient déjà écoulées. Je devais me dépêcher.

Quand je finis Maîtresse Tordu pris le contrôle fit la correction, 0 sur 20 petite gourde annonça -t-elle.