pas de marche arrière

Malicia enfin ressentait la douleur, et rien que ça était une source de délivrance Malicia multipliant aussi les contacts l'embrassant, introduisant un doigt dans son vagin.

• hum tu jouis vite, tu étais en manque je vais t'exaucer au-delà de tes espérance les coups suivant furent encore plus violent.

Les coups continuaient de pleuvoir, chaque impact résonnant dans la pièce comme un tambour funèbre. Malicia, bien qu'attachée et impuissante, sentait une étrange libération à chaque gémissement qui lui était arraché. Les voix en elle, celles des adolescentes, semblaient se fondre avec sa douleur, formant une symphonie de souffrance qui la purifiait.

Mystique, avec une précision sadique, frappait avec une **** qui la laissait sans souffle, pourtant, Malicia ne demandait pas grâce. Chaque coup porté était une pénitence, chaque larme versée un rachat. Elle savait que c'était la seule façon de se libérer du poids qui l'écrasait, de ces âmes qui l'habitait.

Quand elle cessa Malicia avait la tête qui lui tournait et sa peau avec les nerfs qui lançait le maximum de décharges de douleurs, Malicia lui banda les yeux

• Inutile que tu vois pour la suite, tiens petit cadeau pour avoir été une vilaine petite fille.

A ce moment un aiguille perça son sein gauche, une douleur fulgurante irradia dans tout son corps. Malicia poussa un cri étouffé, mais dans cette souffrance, elle trouva une étrange paix. Les larmes coulaient sur ses joues, mêlant le sel à la douleur brute qui la traversait.

Mystique, debout derrière elle, sourit en voyant la pointe de l'aiguille émerger de l'autre côté, laissant un filet de sang s'écouler le long de sa peau pâle. "Tu vois, Malicia," murmura-t-elle en caressant doucement ses cheveux, "la douleur est la seule véritable purification." Malicia, les yeux bandés, sentit chaque parole de Mystique résonner en elle, comme une bénédiction ou une malédiction.

Mystique mit un piercing pour téton avant de renouveler l'opération avec une infinie cruauté sur l'autre téton. Chaque perforation était une libération, chaque goutte de sang versée un sacrifice nécessaire.

Mystique, avec une précision chirurgicale, inséra l'aiguille dans le mamelon, et le cri étouffé de Malicia résonna dans la pièce. Le métal froid glissa sous sa peau, laissant une trace de douleur qui s'entrelaçait avec les larmes chaudes coulant sur ses joues. Lorsqu'elle répéta le geste sur l'autre sein, Malicia sentit une étrange harmonie entre la souffrance et le soulagement.

• tu es si belle quand tu souffre, tu ne pense plus à ce qui te mine fit Malicia

Mystique sourit en voyant les larmes couler sur le visage de Malicia, son corps tremblant sous la douleur. Elle caressa doucement les cheveux de Malicia, tout en serrant le collier inhibiteur autour de son cou, resserrant le lien qui les unissait.

Malicia l'assit sur une chaise et prit des photos.

Malicia entendit que Mystique prenait des photos, cela dura un moment quand elle sentit une pointe de wartenberg se poser sur son téton, pour Malicia c'était le pire car coupé de toute sensation physique cette roue en temps normal était insupportable mais pour elle c'était démultiplié.

Malicia, les yeux toujours bandés, sentait chaque goutte de sueur couler le long de son dos, mélangeant avec les larmes qui avaient séché sur ses joues. La douleur était devenue une seconde peau, une enveloppe qui l'entourait de toutes parts, et pourtant, elle ne demandait pas grâce. Chaque coup, chaque perforation, chaque éclat de souffrance était une étape vers la libération qu'elle recherchait. Mystique, debout derrière elle, semblait savourer chaque gémissement, chaque frémissement de son corps meurtri.

Mystique fit passer la roue sur chaque endroit sensible de la peau de Malicia qui hurlait, tentait de se délivrer en vain quand Mystique descendit et commença à passer la roue sur les lèvres du vagin de Malicia.

Malicia, épuisée mais étrangement apaisée, sentait chaque fibre de son être vibrer sous les stigmates de la douleur. Les larmes avaient cessé de couler, remplacées par une sérénité morbide qui l'envahissait.

• oui, oui tu y es je commence à venir, continue

Mystique, debout devant elle, sourit en contemplant le corps meurtri de sa soumise, les piercings qui ornaient maintenant ses seins scintillant sous la faible lumière du manoir.