no pain no gain

Il posa sa main sur ma croupe après avoir baissé la tension de la chaîne, passa avec savoir faire ses doigts le long de mon corps à tel point que je commençais à haleter.

-Quoi ma fille tu penses être récompensée après ce que tu as fait, je vais te montrer ce que je fais aux garces de petites filles désobéissantes.

Après un instant il se mit à pincer mes tétons avec délice, ils se dressèrent glorieusement, avant que je comprenne ils firent mordues par des dents de pinces métalliques, je sentis ma peau se percer alors que des poids libres dansèrent dans le vide augmentant la morsure des pinces.

Rapidement ma danse de douleur au bout de ces chaînes s'interrompit, car mon corps demandait grâce et mes mouvements faisaient empirer la situation de seconde en seconde

• Alors on apprécie plus la douleur que les caresses paternelle petite ingrate ? Il est trop tard pour regretter désormais j'irais jusqu'au bout.

Des rires et houra s'élevèrent

j'avais honte et mal ! Mais je sentais le désir monter en moi, mon intimité s'humidifiait, petit à petit cette voix de luxure s'élevait en moi

• oui, oui ! de grâce, plus, j'en veux plus maître

seule la boule m'empêchait de crier mon désir, à ce moment il introduisit un doigt dans mon intimité touchant mais ne perforant pas mon hymen avant de le sortir le lécher.

• vierge et humide elle aime ça la petite ! mais nous ne sommes pas là pour la satisfaire

il prit quelque chose et commença à poser, sur mon flanc droit, une ligne de chose que je pris pour des pinces à linge en ligne droites, mais que faisait-il ? il fit de même sur mon flanc gauch, c'était un pincement qui n'était pas désagréable, jusqu'à ce qu'il pince les lèvres de mon sexe à droite et à gauche, là une délicieuse décharge électrique éveilla mes nerfs ce qui me fit tressauter :

avant que je comprenne et je m'habitue à leur présence, ce fut le silence, le public commença à compter à l'envers

-3,2,1, ...

la ligne de droite fut arrachée brutalement ! ce n'était plus une décharge mais la foudre qui me parcouru surtout quand la dernière lâcha ma lèvre intime ! AAAHHHH ! mon cri étouffé n'arrivait pas à soulager la douleur qui secoua mon corps amplifiant la morsure des pinces sur mes tétons, une goutte de sang perla.

j'étouffais, non je suffoquais, mais à peine je retrouvais un semblant de calme, le public compta à nouveau

-6,5, 4 non pitié, je secouais la tête ma raison suppliait, alors que ma luxure elle hurlait à mon bourreau de m'arracher la peau avec ses pinces 3, 2,1

ce fut pire car l'attente avait éveillée et multipliée la sensibilité de mes nerfs et littéralement ma luxure eut la sensation que ma peau avait été arraché. Je vis des étoiles qui m'annonçaient presque que la conscience avait failli me prendre.

je râlais comme jamais, je n'avais cru possible sous l'impact et le choc pouvoir subir une telle douleur, pourtant mon corps jubilait sous l'excitation qui atteignait un niveau nucléaire

avant que je réalise, sans un mot, il revenait à la tâche aidé par quelqu'un, désormais il choisissait des endroits pour des pinces qui semblaient être mises aléatoirement, mais je me doutais que vu que la douleur augmentait ce n'était pas un hasard

• tu n'a jamais fait de tâche ménagère mais j'ai trouvé un usage que tu sauras apprécier de ces pinces.

le public se mit à rire surtout quand je sentis un mouvement brusque d'air, non loin de moi quand un autre bruissement fut accompagné d'une percussion sur une pince placée sous mon aisselle gauche, ce fut comme si on m'enfonçait un pointe dans ma peau, et soudain ce fut un déluge de pinces qui volaient brutalement arrachées ou parfois une cravache me percutait les seins après avoir raté une pince (ce qui n'était absolument pas involontaire)

c'était un ouragan qui me dépeçait vive, j'étais au-delà de la douleur qui se transformait en orgasme, cela dura une bonne dizaine de minutes, il savait doser pour ne pas me laisser une seconde de répit, j'allais devenir folle.

j'étais à bout de **** quand il arrêta il remit un doigt en moi

• mais ma parole ma petite fille aime ça elle en redemande, d'accord nous allons aller au stade supérieur.