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Chapter 10 by Teyla Teyla

What's next?

la vengeance

Maintenant à moi ma chère vous allez me payer ces années d'humiliations, de dénigrement, du renvoi de mon poste à Harvard.

ramenée au camp de base de Harlenton, Lana fut attachée par les mains à un poteau par une chaine terminé par un crochet à viande qui maintenant les chaînes de ses mains et son corps à une hauteur qui l'empêchait de se reposer sur ses pieds

il fit un signe à un colosse qui tenait un fouet.

  • ma chère lana cet homme va fouetter jusqu'à ce que je sois satisfait, je l'ai choisi car il est un maître dans le maniement du fouet, il peut faire souffrir quelqu'un des heures ou la dépecer vive, il va vous faire danser, je vais adorer ce spectacle

il fit un signe, l'homme avec un sourire satisfait fit un mouvement ample pour s'assurer un impact parfait et le claquement du fouet précéda la douleur qui me donna l'impression d'avoir ma peau être lacérée par le coup,

Harlenton fit,

  • faites varier on ne veut pas sa mort juste la voir supplier, s'humilier comme jamais pour que cela cesse.

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Le fouet s'abattit à nouveau, la morsure du cuir sur ma chair nue était atroce. J'hurlais comme une damnée de dante. Mes mains, crispées sur le crochet à viande, saignaient sous la pression tandis que son corps se balançait sous chaque coup. Harlenton, les bras croisés, observait la scène avec un sourire sadique, ses yeux brillant de plaisir. Le colosse, après chaque coup, s'approchait pour examiner les zébrures rouges qui se multipliaient sur le dos de Lana, s'assurant qu'il ne la tuait pas, mais qu'il la poussait au bord de l'évanouissement.

  • Plus fort, murmura Harlenton, qu'elle comprenne bien qui est maître maintenant.
  • si vous voulez je peux l'amener à un tel état qu'elle se videra en perdant le contrôle de son rectum;
  • ma fois pourquoi pas si vous y arrivez je vous donne 100 dollars.

Le colosse ricana en entendant la proposition, visiblement excité par l'idée de pousser me pousser à mon extrême limite. Il leva le fouet plus haut cette fois, et le claquement résonna comme un coup de tonnerre. La morsure du cuir sur ma chair meurtrie était insoutenable, j'hurlais si fort que ma voix commença à s'érailler.

Harlenton se rapprocha, ses yeux brillants de plaisir sadique, et murmura :

  • Plus fort, encore plus fort. Je veux la voir danser dans le vide quand elle se videra.

L'homme accéléra, mon corps tentait de fuir, mes jambes s'agitaient grossièrement et vulgairement, je suppliais en vain cela ne s'arrêtait pas, chaque coup me faisait cracher un cri déchirant, mes muscles tressaillaient sous la douleur atroce, mes mains saignaient contre le crochet à viande, et je sentais mes forces m'abandonner petit à petit. Harlenton riait maintenant, un rire gras et sadique, il s'approcha de moi, son visage à quelques centimètres du mien, ses yeux brillaient de plaisir, il murmura : "Tu vois, Lana, je t'avais dit que tu danserais pour moi.

il se mit à fouette mon sexe exposé, sous la douleur et la terreur, puis il cessa alors que je recroquevillais mes jambes tentant en vain de me protéger, ils m'attachèrent les jambes écartées totalement exposée et offerte à son fouet

  • bon reprenons ma belle je vais te lacérer la chatte et le clitoris, il claque le fouet au sol.

incapable de reprendre le contrôle, droguée, ma terreur amplifiée par la drogue, je me vidais de mon intestin souillant mes jambes, le sol de les excréments.

mon bourreau exulta, Harlenton jubilait voyant ma honte et ma déchéance.

Les larmes coulaient sans discontinuer sur mes joues tandis que je sentais mon âme se briser en mille morceaux. Harlenton, ravi de mon humiliation, se mit à rire avec une intensité qui me glaçait le sang.

  • Tu vois, Lana, tu n'es plus qu'une loque tout juste bonne à servir dans un bordel de Manille fit-il en s'approchant encore plus près, son souffle chaud contre mon oreille. Le colosse, visiblement excité par le spectacle, suggéra une nouvelle forme de ****, mais Harlenton leva la main pour l'arrêter.

-Non, laisse-la goûter à sa honte pendant un moment. Qu'elle s'imprègne de sa propre déchéance, voici tes 100 dollars en lui tendant les billets, détache là, Lara tu va avec ta bouche nettoyer tes excréments, et toi tu vas veiller avec ton fouet qu'il ne reste aucun trace au sol, après tu la lavera à coup de jet d'eau compris ?

Ils me libérèrent ,les mains et je tombais au sol toujours attachés par les cheville, Harlenton me saisie par les cheveux et écrasa mon visage dans mes excréments.

  • dépêche toi ou je laisse notre amis se faire plaisir en te montrant jusqu'où va son talent au fouet.

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