la garce, la brute la victime

Je me relevais tremblante, je déboutonnais difficilement mon chemisier alors qu'il tournait autour de moi comme un prédateur près à bondir sur sa proie.

• plus vite garce ! Me hurla-t-il dessus

Je sursautais de peur, je retirais mon chemisier par la tête, puis ma jupe. Enfin mon soutien gorge.

• Luna tu vois pour moi elle n'est qu'un sac à foutre, quand je la baise c'est à toi que je pense, d'un coup il me prit mes poignet qu'il tira en arrière et d'un coup me pénétra douloureusement.
• baisse toi et demande lui qu'elle accepte que tu lui lèche son sexe, son clitoris ou son anus comme il lui plaira

je me courbais alors qu'il commençait à me labourer sans douceur.

• maîtresse puis-je vous satisfaire comme il vous plaira ?

elle me prit mon menton entre sa main me regarda avec dégoût et me gifla.

elle présenta son sexe où elle enfonça mon visage un long moment alors que j'étais littéralement défoncé par Phil, elle dit à l'adresse de Phil

-baise moi à travers elle je veux te sentir à travers ce sac à foutre.

il redoubla de **** alors qu'elle me maintenait ainsi au plus profond de son sexe me forçant à chercher toujours plus loin à la satisfaire, changeant de position il décida de me sodomiser je voulu me relever pour crier, mais elle me força à ne pas bouger.

j'étais réellement qu'un pont entre eux qu'un sextoy dont ils pouvaient disposer comme ils voulaient, elle jouit en première m'inondant de sa cyprine, elle me fit boire tout ce liquide je cru même qu'elle allait m'étouffer quand il jouit en moi, elle me libéra alors que je cherchais à reprendre mon souffle qui fut interrompu par cette odeur de sodomie qui m'arriva sous le nez.

• nettoie pute fit-elle,

je n'avais plus de volonté complètement anéantie, je m'appliquais pour avoir un peu de paix, quand il jugea que cela suffisait, il me tira par les cheveux et me traina au sol raclant la moquette de ma joue,

• je vais faire l'amour à Luna toi tu vas te caresser le clitoris devant la vitre tu feras peut être le bonheur d'un gars qui regarde au téléobjectif mais interdiction de jouïr

ainsi pendant une heure j'étais la spectatrice du plaisir des deux alors que j'étais en train de me caresser devant une vitre ouverte à la ville qui s'étendait à nos pieds, devant régler mon rythme pour ne pas jouïr.

Enfin leur petits jeux érotiques finirent, ils me regardèrent longuement se moquant, me traitant de tous les noms avant qu'elle parte elle me cracha dessus encore en partant.

• nous nous reverrons garce, je te ferais payer ce que tu as fais subir à Phil et Manon .

Il passa un coup de téléphone,

• Pierre vous pouvez rentrer je ramène madame avec ma voiture.

il m'arrêta, il mit un doigt dans mon sexe, tu est bien mouillée, dit-il, avoue tu aimes sinon cet argent ne suffirait pas non, je t'ai juste fournis une excuse bah peu m'importe si tu y trouve ton compte si j'assouvis mes pulsions.

j'avais honte mais oui j'aimais qu'il m'avilisse mais aussi parce pour une fois on m'avait donné une famille certes perverse pour une partie.

• oui je le crains maître.

• va sur le lit ventre sur le matelas

j'obéissais il prit sa ceinture

• compte et remercie moi

le premier coup me cingla cruellement, je criais puis

• un merci maître

compte plus vite sinon j'enchaîne et tu recommence à compter à zéro

je ne me trompais qu'une fois à 7 au dernier coup je comptais 20 merci maître, il me prit par les cheveux après s'être rhabiller et m'emmena jusqu'à l'ascenseur.

• je suis encore nue maître

• et alors j'en ai rien à faire, dans l'ascenseur il me colla à la paroi vitrée exhibée, tant que les portes restèrent fermées.