immonde plaisir

Il fit apparaître des démons blob qui lentement se dirigèrent vers les soeurs qui se retrouvèrent impuissantes, haletantes, ne pouvaient voir que ces créatures progresser lentement jouissant à l'avance de ces victimes impuissantes.

• violez les, engloutissez les, pénétrez les complètement, qu'aucun atome de leur corps n'ignore la souffrance mais surtout le plaisir.

les blobs remontèrent les pieds chaque pousse de peau, terminaison nerveuse s'activa par cette sensation gluante, immonde et pourtant déclenchant grâce aux hormones qu'ils dégageaient une situation inédite et impossible à gérer.

Leur âme se révoltait par cette sensation visqueuse et de sucion mais en contrepartie déclenchait un extase immonde mais absolue. Les sœurs, prisonnières de ce cauchemar palpable, sentaient leur résistance s'effondrer sous l'assaut insidieux des créatures. Chaque centimètre de leur peau était exploré, envahi par cette substance vivante qui semblait s'adapter à leurs réactions, amplifiant le plaisir tout en intensifiant la douleur.

Tout les poussait à fuir et pourtant leur corps lui bien que dégouté était éveillé et sensible divinement, les blobs arrivèrent à leur sexe, anus et les remplir, les distendre sans aucune pitié, comme une gelé qui cherchait à les envahir.

Les chairs palpitantes des sœurs se contractaient en vain sous l'étreinte glaciale des entités, chaque orifice forcé jusqu'à l'impensable par ces masses pulsatives. Leurs ventres se gonflaient obscènement sous les vagues de gelée démoniaque qui colonisaient leurs entrailles, transformant leurs cris d'horreur en gémissements convulsifs.

Les pseudopodes vrilleurs fouillaient leurs ovaires, caressaient leurs colons spasmodiques, injectant une liqueur brûlante qui métamorphosait l'agonie en jouissance perverse.

les gelées vivantes continuant leur progression à l'extérieur comme à l'intérieur, les blobs arrivèrent à leur seins, aspirant leur peau comme un suçon géant et intégral mais qui agissait aussi à l'intérieur.

Les tétons durcis se retrouvèrent enserrés dans des pseudopodes annelés qui pompaient leur chair avec une voracité obscène, chaque trayon distendu laissant échapper un mélange de lait maternel et de sucs démoniaques nacrés.

La gelée parasite emplissait désormais chaque pouce intérieur cessa à l'intérieur sa progression et se mit à tourbillonner dans un mouvement alternant vibrations réconfortante avant de passer à des épanchements cruels qui préservait toutefois leur santé s'assurant qu'elles ressentent des sensations qui allait de l'orgasme à l'accouchement en une fraction de seconde tout en arrivant à leur bouche, les envahissant aussi à cet endroit.

Leurs gorges se convulsèrent alors que la substance démoniaque inondait leurs bronches, transformant chaque tentative de cri en gargouillis humide tandis que les filaments gélatineux s'insinuaient dans les replis de leurs cerveaux.

Les sœurs sentirent leurs pensées se dissoudre dans un bain d'acide psychique où chaque neurone devenait un relais pour des pulsions obscènes imposées. Leurs utérus, distendus par des litres de gelée vibrante, subissaient des contractions chaotiques expulsant des flots de fluide visqueux, tandis que leurs intestins se tordaient sous l'assaut de tentacules à picots fractaux rétractiles alternant sensations de déchirures et caresses lubrifiées.

Elles pouvaient respirer, une sorte de symbiose porno se formaient les créatures se nourrissaient de leur peurs, souffrance, plaisir pendant qu'elles veillaient à leur survie, ainsi qu'en degageant des substances agissant sur leurs hormones pour démultiplier leur plaisir.

Les créatures, ayant atteint un niveau de symbiose inouï avec les sœurs, commencèrent à se modifier pour intensifier l'expérience. Chaque pseudopode se divisa en ramifications plus fines, s'insinuant dans les moindres recoins du corps, stimulant des zones érogènes inconnues jusqu'alors.

La substance gluante, maintenant imprégnée des hormones des sœurs, se mit à briller d'une lueur sinistre, accentuant l'ambiguïté entre douleur et plaisir. Les sœurs, leurs esprits engloutis dans un tourbillon de sensations contradictoires, sentaient leur identité se dissoudre, ne laissant place qu'à une soumission totale aux désirs imposés par ces entités.

Leur corps tremblaient sous les effets des orgames qui leurs étaient imposés sans pouvoir y mettre fin, et d'un autre côté voulaient elles vraiment que cela cesse ?

Quand le maître sentit qu'elles n'allaient plus pouvoir faire marche arrière et se diluer dans leurs orgasmes, il ordonna.

• suffit expulsion

A regret les blobs vomirent les sœurs qui eurent l'impression horrible d'être accouchées et d'accoucher alors que les blobs sortaient d'elles ne laissant qu'un mucus immonde et nauséabond, qu'elles éjectaient à flot pleurant le retour à une réalité si désormais banale et conscientes d'avoir aimée cette abomination, prête à se prostituer pour revivre cela.