ignominie

• caresse, honore mon corps et lèche moi traduisit le droïd.

Leia sentit une vague de nausée monter en elle tandis que les doigts grassouillets de Jabba s'enfonçaient dans ses cheveux, la forçant à s'approcher de son corps puant. Le collier autour de son cou pulsait avec une intensité qui lui faisait mal, chaque battement amplifiant son dégoût et le transformant en une excitation perverse. Elle ferma les yeux, essayant de s'échapper dans un autre endroit, mais les rires des gardes et les bruits de la cantina l'ancraient à la réalité.

Leia colla son corps à celui de Jabba alors que Niia lui arrachait ses vêtements, se mit à se chalouper contre la chair poisseuse de Jabba. Elle tendit sa langue qu'elle commença à passer sur les plis libidineux du maître de la pègre.

Chaque mouvement était une **** pour son âme, mais le collier autour de son cou la forçait à continuer, transformant son dégoût en une excitation perverse. Les rires des gardes et les bruits de la cantina emplissaient l'air épais, tandis que Jabba gémissait de plaisir, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux pour la maintenir contre lui.

Jabba la retourna écarta ses jambe et plonga sa monstrueuse langue dans les cuisses de Leia titillant son clitoris alors Niia fouetta Leia en ordonnant

• lèche et carresse.

Leia sentit les larmes brûlantes couler le long de ses joues tandis que Jabba s'abandonnait à son plaisir. Chaque caresse, chaque mouvement était une souillure pour son âme, mais le collier autour de son cou la maintenait sous son contrôle, transformant même sa douleur en une excitation perverse.

Niia observait la scène avec un sourire cruel, ses yeux brillant de satisfaction sadique. Le droïde médical, impassible, notait chaque réaction de Leia, analysant les effets du collier avec une froideur clinique. Les gardes, excités par le spectacle, échangeaient des paris sur combien de temps Leia tiendrait avant de se briser complètement.

Jabba fit entrer sa langue dans le vagin de Leia qui découvrit qu'elle était aussi râpeuse qu'une lime, à sa grande surprise il déchira un hymen que la cuve à Bacta avait régénéré , cela compléta la douleur.

Niia lui dit amusée :

• tu aimes le cadeau du maître ? tu retrouveras ta virginité autant de fois qu'il le désirera

Leia sentit chaque centimètre de la langue de Jabba, râpeuse et brûlante, qui la pénétrait avec une brutalité sans précédent. Chaque mouvement était une agonie, mais le collier autour de son cou transformait cette douleur en une excitation perverse, la forçant à se cambre sous l'emprise de Jabba.

La langue était si longue qu'elle se pliait à l'intérieure du vagin de Leia, chaque coup de langue envoyant des vagues de douleur mêlée de plaisir artificiel. Les larmes coulaient sur ses joues tandis qu'elle était maintenue en place par les doigts gras de Jabba, son souffle chaud et puant contre sa peau.

D'un coup il retira sa langue râpeuse qui faillit déchirer la fine peau de son intimité. Leia hurla de douleur, mais le collier autour de son cou transforma ce cri en un gémissement de plaisir. Jabba ricana, satisfait de la soumission de sa nouvelle esclave.

Il la fit se dresser sur les genoux, ses mains grasses agrippant ses hanches tandis qu'il se préparait à la pénétrer. Les gardes criaient, excités par le spectacle, et Niia les rejoignit, son fouet claquant contre le sol pour maintenir l'ordre.

• je n'avais jamais goûté une princesse, c'est comme une pute de bordel en fait, ricana Jabba vient te positionner pour que je te pénètre

Leia, sous l'emprise du collier, sentait son corps réagir contre son gré, chaque douleur transformée en une excitation perverse. Les gardes criaient, excités par le spectacle, tandis que Niia les maintenait en ordre avec son fouet.

Chaque mouvement de Jabba était une **** pour l'âme de Leia, mais surtout pour son corps, qui se cambrait sous lui, incapable de résister.

Leia vit la queue de Jabba qui était l'extension de son grotesque corps remonter le long de sa jambe, le pire c'est qu'en plus de son impuissance elle vit ses cuisse s'ouvrir et se plier pour qu'ilpuisse se frayer un chemin jusqu'à son sexe.

Le sexe de Jabba resta un moment à jouer à l'ouverture du vagin de Leia et d'un moment se déploya pénétrant violemment jusqu'au plus profond de celui-ci, Leia eut le souffle coupé. Chaque centimètre de pénétration était une agonie insupportable, la douleur fulgurante qui irradiatit dans son bas-ventre. Les doigts grassouillets de Jabba s'enfonçaient dans ses hanches, l'immobilisant tandis que sa langue visqueuse caressait son épaule.

Niia observait la scène avec un sourire sadique, son fouet claquant occasionnellement pour rappeler à tous que silence et discipline étaient de rigueur. Les gardes, excités par le spectacle, murmuraient entre eux, leurs voix basses et pleines de concupiscence.

Le sexe de Jabba se convulsa, se déployait tel un reptile monstrueux doté d'une vie propre se lovant s'enfonçant toujours plus la distendant jusqu'à la limite de la rupture. Chaque mouvement était une ****, chaque centimètre une agonie qui faisait hurler Leia, mais le collier autour de son cou transformait ses cris en gémissements de plaisir. Les doigts grassouillets de Jabba s'enfonçaient dans ses hanches, l'immobilisant tandis que sa langue visqueuse caressait son épaule.

Jabba commença à aller et venir dans le vagin de Leia avec une **** cruelle, son sexe annelé traumatisait son vagin, son collier la maintenant dans un état second.

-oui oui maître oh oui iiiii

cela dura longuement sous les hourra de la cour qui se régalait de ce spectacle d'empalement viril par leur maître, d'une ancienne sénatrice qui souvent leur avait nuis dans leurs affaires.

Chaque pénétration la faisait hoqueter, comme si ces organes allaient ressortir par le haut tant Jabba n'avait cure de ce qu'il lui faisait subir quand enfin la jouissance lui vint son sexe se mit à vibrer puissamment finissant de tourmenter Leïa qui eut à peine le temps de comprendre que la boule qui circulait dans le sexe de Jabba était sa semence qui fut expulsé en elle comme une boule qui explosa en elle.

Leia, épuisée et brisée, sentait le poids de l'humiliation et de la douleur tandis que Jabba se retirait d'elle. Sa respiration était haletante, son corps tremblant sous l'effet de la **** qu'elle venait de subir. Jabba la jeta au sol recouvert de coussins et hurla de triomphe sous les vivats de la foule, alors que leia sentait le sperme du monstre s'évacuer par flot de son vagin et pourtant elle avait toujours l'impression que ce serait sans fin.

Niia ordonna d'avaler le sperme à d'autres esclaves qui se ruèrent et se mit à boire le sperme qui coulait de Leia ou qui la recouvrait, mais Leia était à la limite de l'inconscience elle ne ressentait presque plus rien. Les esclaves, avec une voracité animale, léchaient chaque goutte tandis que Niia, avec un sourire cruel, les encourageait en les fouettant doucement. Leia, allongée sur les coussins souillés, sentait son corps lourd et engourdi, comme si chaque partie d'elle avait été brisée. Les murmures de la foule, les rires des gardes, tout n'était qu'un écho lointain à ses oreilles.