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Chapter 5 by Teyla Teyla

What's next?

fièvre

-Tu es majeure n'est-ce pas Teyla ?

je hochais la tête, à ce moment je voulais tellement lui appartenir mon corps le désirais de toute ses forces, je haletais.

Je hochais la tête, incapable de parler, et je sentis mon visage s'empourprer de honte. Mon corps continuait à réagir à sa caresse, et je ne pouvais pas nier mon désir pour lui.

Monsieur Goupil me relâcha enfin, et je me relevai lentement, mes jambes tremblantes. Je sentais la brûlure de mes fesses et je savais que j'avais l'air rouge et gonflé.

  • pardon monsieur Goupil je ferais tout pour que je vous appartienne je rougis pardon que vous me pardonniez.

il eut un sourire entendu me prit la main et me tira vers la chambre, j'eus le souffle court d'un espoir que je refusais consciemment.

Devant le lit il me dit.

  • déshabille toi

Sa voix était rauque, et son désir pour moi était palpable. Je me sentais tellement embarrassée, mais en même temps, je le voulais, je voulais le sentir en moi. Je le désirais vraiment.

Je commençai à m'agiter doucement, déboutonnant mon chemisier, puis le faisant glisser le long de mes bras. Je laissai tomber mon soutif à mes pieds, mon corps palpitait de désir.

Monsieur Goupil m'observait se tenant les bras croisés, je sentais son regard parcourir mon dos dénudé suivre ma chute de reins me détaillait. Je sentais la chaleur et l'humidité dans mon bas ventre, et j'eus honte pour la deuxième fois de la journée. Je savais que j'étais rouge sombre, j'en étais certaine.

Je commençai à dégrafer mes sous-vêtements, sentant le poids supplémentaire que mon ventre se déhancha de manière sensuelle.

Je laissai glisser mon string le long de mes jambes, sentant le froid de l'air sur ma peau nue. Monsieur Goupil émit un léger grognement, son regard s'intensifiant comme s'il était incapable de détourner les yeux de moi. Je me sentais vulnérable, exposée, mais en même temps, je me sentais vivante, comme si mon corps était enfin libéré de toutes les inhibitions qui me retenaient.

Monsieur Goupil fit un pas en avant, ses yeux descendant le long de mon corps, s'attardant sur mes seins, mes hanches, mes cuisses. J'eus un frisson en sentant son regard comme une caresse physique, ma peau se hérissant sous l'intensité de son examen. Il s'arrêta juste devant moi, si proche que je pouvais sentir la chaleur de son corps, le parfum de son after-shave. Il leva la main et me toucha le menton, faisant pivoter mon visage vers le sien.

  • prête à tout pour te faire pardonner fit-il interrogateur ?

Je hochai la tête, mes yeux fixés sur les siens, incapable de détourner le regard. Sa main compressa légèrement mon menton, et je sentis un frisson parcourir mon corps. Il se rapprocha encore, son souffle chaud effleurant mes lèvres. Je sentais mon cœur battre la chamade dans ma poitrine, mon corps entier tendu vers lui.

  • Oui, monsieur Goupil, murmurais-je, ma voix à peine audible.

Il esquissa un léger sourire, et son regard s'intensifia.

Il esquissa un léger sourire, et son regard s'intensifia.

Sa bouche effleura la mienne, un contact léger qui envoya des frissons dans tout mon corps. Je sentis mon cœur s'emballer, mon souffle se couper, tandis que ses lèvres chaudes et douces explorait les miennes. Le baiser fut doux, presque timide, mais il contenait une promesse de passion et de possession qui me fit frémir. Monsieur Goupil approfondit lentement le baiser, sa langue effleurant la mienne, et je me sentis fondre sous sa caresse.

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