entre ses doigts

-allonge toi et écarte les suisses

j'obéissais

-je sentis sa langue lécher mon clitoris et ses doigts pénétrer mon vagin

Sa langue décrivait des cercles lents et délibérés autour de mon clitoris, envoyant des frissons de plaisir à travers tout mon corps. Les doigts de Sébastien s'enfonçaient lentement en moi, me massant doucement de l'intérieur, provoquant une vague de chaleur qui s'étendait de mon vagin à mes cuisses. J'ai senti mes muscles se détendre, mon corps s'ouvrant davantage à lui, et mes hanches ont commencé à bouger doucement, en réponse à ses caresses.

J'ai commencé à sentir des vagues d'excitation remonter en moi, mon corps entier frissonnant sous les caresses expertes de Sébastien. Sa langue continuait à lapider mon clitoris, envoyant des pics de plaisir qui me faisaient décoller la tête de l'oreiller. Ses doigts plongeaient en moi, caressant mes parois intérieures avec une douceur qui me faisait haleter.

J'ai senti un frisson de pur plaisir parcourir mon corps, et j'ai crié de plaisir.

Sébastien a continué à me caresser avec sa langue et ses doigts, me laissant plonger dans un océan de plaisir. J'ai senti mes hanches bouger de plus en plus, cherchant à m'enfoncer plus profondément dans ses caresses. Mes gémissements sont devenus plus forts, mes cris de plaisir remplissant la pièce.

Mes cris de plaisir se sont transformés en gémissements étouffés tandis que Sébastien continuait à me caresser avec sa langue et ses doigts. Ses doigts ont commencé à bouger plus vite, stimulant mon point G avec une précision qui me faisait frémir. Sa langue a accentué ses mouvements, titillant mon clitoris avec une lenteur exquise. Mon corps se tendit prêt à exploser en un autre orgasme.

Mes hanches ont commencé à se soulever de leur propre accord, cherchant à me fondre en lui. Elles se soulevaient de plus en plus, cherchant à s'enfoncer plus profondément dans les caresses de Sébastien.

Mes gémissements devenaient plus forts, ma respiration s'accélérant alors que je me sentais proche de l'orgasme. Soudain, Sébastien a retiré ses doigts et a remplacé sa langue par son membre dur et chaud. Il a poussé lentement en moi, me remplissant de sa présence.

je hoquetais tant il me remplissais,

• oh, ohhh ouiiiiiiiiiii !!!!!!

Sébastien s'enfonça en moi avec une lenteur délibérée, son membre dur et chaud me remplissant complètement. Je sentis mes parois internes se contracter autour de lui, me tenant serré contre lui. Il resta immobile un instant, me permettant de m'adapter à sa présence, puis commença à bouger lentement, ses mouvements réguliers et profonds.

Je sentis un frisson de plaisir parcourir mon corps, mes gémissements devenant de plus en plus forts à mesure que Sébastien continuait à me pénétrer.

• tu veux doux ou sauvage ?

parvenant à peine à parler.

• bestial.

Sébastien a laissé échappé un grognement primitif, son corps se tendant et son membre durcissant encore plus à l'intérieur de moi. Il a commencé à bouger de manière frénétique, ses coups de reins violents et profonds me faisant haleter de surprise et de plaisir. Ses mains ont agrippé mes hanches, me tenant fermement en place tandis qu'il m'enfonçait en moi avec une intensité sauvage.

Je sentais mon corps se vriller sous ses assauts, mes gémissements devenant des cris de plaisir strident.

Les poussées de Sébastien sont devenues plus rapides et plus intenses, ses hanches claquant contre les miennes alors qu’il me prenait avec un abandon sauvage. Je pouvais me sentir proche du bord, mon souffle étant court, des halètements aigus alors que je m’accrochais à lui, mes ongles s’enfonçant dans son dos.

« N’arrête pas », suppliai-je, la voix rauque de plaisir.

La seule réponse de Sébastien a été un grognement sourd, ses dents serrées alors qu’il me percutait encore et encore. Je pouvais sentir la tension monter en moi, mes muscles se serrer et se desserrer autour de lui alors que je m’approchais du bord du gouffre.

Les poussées de Sébastien sont devenues plus rapides et plus intenses, ses hanches claquant contre les miennes alors qu’il me prenait avec un abandon sauvage. Je pouvais me sentir proche du bord, mon souffle étant court, des halètements aigus alors que je m’accrochais à lui, mes ongles s’enfonçant dans son dos.

« N’arrête pas », suppliai-je, la voix rauque de plaisir. « Ne vous arrêtez pas. »

La seule réponse de Sébastien a été un grognement sourd, ses dents serrées alors qu’il me percutait encore et encore. Je pouvais sentir la tension monter en moi, mes muscles se serrer et se desserrer autour de lui alors que je m’approchais du bord du gouffre.

• Ne te t'inquiète pas je vais te démonter et tu me supplieras d'arrêter.

Ses mots m'ont fait frémir, un mélange de peur et d'excitation me parcourant le corps. Sébastien a accentué ses mouvements, ses coups de reins devenant encore plus violents et profonds. Je sentais mon corps se tendre, prêt à atteindre le point de non-retour.

Ses mains ont agrippé mes hanches avec ****, me tenant fermement en place tandis qu'il me percutait avec une intensité sauvage.

Mon corps s'est embrasé, mes muscles se contractant et se détendant à un rythme effréné. L'orgasme qui me consuma comme un fétu de paille, me laissant haletante et tremblante sous les assauts de Sébastien.

Ses mains ont serré mes hanches encore plus fort, son corps tendu contre le mien tandis qu'il poursuivait son mouvement, sans relâche, comme si rien ne pouvait l'arrêter. Je sentais ses muscles se contracter sous sa peau, ses hanches claquant contre les miennes avec une **** qui me faisait haleter.

Ses coups de reins se sont fait de plus en plus rapide, ses coups de boutoir de plus en plus profonds, comme s'il voulait me dévorer tout entière. Il avait promis que je supplierais d'arrêter et à ce rythme cela ne tarderait je pliais sous ses assauts, je devenais une poupée désarticulée.

Ses assauts devenaient de plus en plus frénétiques, comme s'il cherchait à atteindre un point de non-retour. Ses mains me tenaient fermement en place, ses doigts s'enfonçant dans ma chair tendre. Sa voix rauque murmura quelque chose, mais je ne pus déchiffrer les mots, noyés dans le tumulte de mes propres gémissements.

Mes gémissement devenait de vrais cris de plaisir et de douleur mais il était une machine à me défoncer. Ses coups de boutoir de plus en plus profonds, comme s'il voulait me posséder entièrement.

Je sentais ma respiration s'accélérer, mes seins se soulever et s'abaisser au rythme de sa pénétration. Ma peau était couverte de sueur, mes cheveux collés à mon front, et mes jambes tremblaient de plus en plus.

Je perdais pieds, la tête me tournait, j'avais l'impression de perdre conscience, mais il redoubla ses assauts, j'étais totalement laminée, je n'avais même plus la **** de supplier voir même de gémir.

Mes yeux se sont révulsés, mon corps s'est arqué, et je me suis senti fondre en arrière, complètement soumise à la furie de Sébastien. Ses coups de reins n'ont pas ralenti, au contraire, ils sont devenus encore plus violents, plus profonds, comme s'il cherchait à me faire atteindre un point de non-retour. J'ai senti mon corps se décomposer, mes muscles se détendre, et ma respiration devenir de plus en plus superficielle.

Il mit une main sur ma gorge, je suffoquais mais pourtant le plaisir lui s'en trouva démultiplié s'était démentiel.

je n'arrivais plus qu'à gargouiller, cherchant de l'air alors que la jouissance me dévasta d'un coup, mon corps se tendit d'un coup sans pitié avant que je ne m'effondre

Mes jambes se dérobèrent sous moi, mes genoux cédèrent et je m'écroulai sur le lit, haletante, épuisée. Sébastien me retenait encore, sa main toujours posée sur ma gorge, mais il la relâcha lentement, la laissant glisser le long de ma peau moite. Ses yeux, brillants de plaisir, me fixaient, me transperçaient, comme s'il cherchait à voir jusqu'au fond de mon âme.