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Chapter 20
by Gerald F.
que choisit Marie?
elle préfère dans le cul
"D'accord, enculez-moi," accepta la jeune femme. "Au point où nous en sommes..." ajouta-t-elle mentalement.
A la demande d'Eva, Marie se mit à quatre pattes pour offrir son petit trou aux attentions de la belle quadragénaire. Elle sentit que celle-ci s'agenouillait derrière elle, lui enfilait son index pour huiler doucement la paroi, puis lubrifiait le gode avant de commencer doucement à la pénétrer. L'horrible expérience qu'Eva avait dû infliger à Christelle, puis celle délicieuse qu'elle avait partagée avec Paul, lui avaient en peu de temps donné des connaissances dans ce domaine. Elle s'y prenait assez bien pour que la sensation de Marie ne soit pas vraiment douloureuse, plutôt surprenante voire excitante.
La jeune femme obéit lorsque Eva lui demanda de redresser le buste, et se retrouva le dos collé contre les gros seins toujours fermes de sa partenaire, dont elle sentit les tétons durs et érigés. Eva passa une main par devant pour lui caresser ses propres seins, puis descendit vers le ventre puis le sexe qu'elle recommença à masturber. De son autre main, elle continuait à faire progresser le gode dans le rectum de Marie. Elle l'eut bientôt enfoncé presque en entier, tellement qu'elle eut un peu de mal à le faire ressortir, puis entama un lent mouvement de va et vient.
Des halètements de plaisir qui échappèrent à Marie firent penser à Eva qu'elle pouvait accélérer un peu le rythme, ainsi que Paul l'avait fait avec elle. Tout en embrassant et en léchouillant la chair sous l'oreille de la jeune femme, elle lui glissa "Tu aimes? C'est comme ça que ton fiancé m'a fait."
Marie répondit dans un gémissement en la traitant de vieille truie, et en ajoutant que sa propre fille n'avait pas eu autant de chance. Néanmoins, en même temps elle tournait la tête pour rencontrer la bouche de sa partenaire, et les deux femmes échangèrent un long et profond baiser. Tout en lui bouffant la langue, Eva continuait à s'activer sur l'anus et le sexe de Marie, qui en retour mit à nouveau sa main entre les cuisses de la belle quadragénaire.
Les autres otages, comme pétrifiés, regardaient la scène tourner à l'enlacement lesbien. "Maman aurait pu y penser plus tôt, au lubrifiant," se dit aigrement Christelle, "ça m'aurait évité de me faire défoncer le cul." De son côté, Paul devait reconnaître qu'en voyant sa fiancée, qu'il avait toujours respectée, nue en compagnie de la femme qui l'avait dépucelé lui, l'une contrainte d'enculer l'autre et toutes deux y prenant visiblement du plaisir, la stupéfaction se mêlait chez lui à l'envie. Malgré les deux assauts qu'il avait vigoureusement menés sur Eva peu de temps auparavant, il sentit qu'il recommençait à bander.
Chez les truands aussi, l'excitation montait.