douche

Les gardes gamorréens levèrent Leia et l'attachèrent à un crochet au plafond, exposée ainsi, souillée jamais Leia n'avait pu être ainsi souillée avillis, la cour de Jabba n'hésitait pas à en rajouter pour plaire au maître des lieux, lui crachant parfois dessus.

Niia revint avec un tuyau de lavage hydropulsant,

• il est temps de laver notre petit dernière.

appuyant sur un bouton qui pulsa une haut sous pression qui frappa comme un coup de poing leia

Appuyant sur un bouton qui pulsa une haut sous pression qui frappa comme un coup de poing Leia, le jet d'eau glacée s'abattit sur son corps meurtri, arrachant des gémissements étouffés. Les gardes gamorréens ricanaient, leurs yeux brillants de sadisme, tandis que Niia, impassible, ajustait l'intensité du tuyau, prenant un malin plaisir à viser son sexe.

La princesse, suspendue au crochet, tremblait sous la **** de l'eau qui cinglait sa peau, chaque impact éveillant des douleurs aiguës. La cour de Jabba rugissait de plaisir, certains spectateurs criant des insultes, d'autres encourageant Niia à redoubler de ****.

Niia n'hésita pas à mettre le pulseur dans l'anus et libéra le puissant flot qui percuta les chairs intimes de Leia, provoquant des hurlements de douleur qui résonnèrent dans la salle. Les gardes gamorréens, excités par le spectacle, se mirent à hurler des encouragements, tandis que Niia, les yeux froids et calculateurs, ajustait l'angle de l'appareil pour maximiser l'écartèlement.

Le jet d'eau, glacial et violent, fouailla sans relâche, arrachant à Leia des cris qui se mêlaient aux rires gras de la cour de Jabba. Le corps de la princesse, déjà meurtri, se tordait sous la pression insoutenable, ses muscles contractés par la souffrance.

D'autres jets furent amenés l'eau satura l'aire, Leia avait du mal a respirer, mais tout son corps était percuté, pourtant ce maudit collier Sith, ramenant ses pulsion obscurs l'amenait au bord d'une jouissance de plaisir et de souffrance, cela dura longtemps toujours maintenu à la limite sans répit quand soudain alors qu'elle perdait connaissance par manque d'air cela cessa.

Niia avança avec des éponges au bout de perches qu'elle maintenait avec ses mains de manière ferme, quand elle frotta Leia fut frappé par une violente décharge électrique provenant des deux éponges, elle bondit comme une diablesse mais ses liens l'empêchaient de fuir, ses muscles se contractant sous la douleur.

Les éponges, imprégnées d'une électricité cisaillante, traçaient des sillons de feu sur sa peau, chaque contact provoquant des spasmes violents. Niia, avec une cruauté méthodique, faisait glisser les éponges sur tout son corps, s'attardant sur les zones les plus sensibles, tandis que les gardes gamorréens hurlaient de rire, excités par le spectacle.

Leia, les yeux écarquillés par l'horreur, sentait son corps se tordre sous les décharges, son esprit vacillant entre l'évanouissement et une conscience douloureuse. La salle de Jabba résonnait des échos de ses cris, mêlés aux cris de joie de la foule, dans une symphonie macabre de souffrance et de plaisir sadique.

Niia dansait tout en appliquant sur Leia les éponges électrique qui avec l'eau qui suintait de son corps amplifiait l'effet, c'était une danse hypnotique et terrible qui ne laissait aucun répit à Leia, qui ne voulait plus que s'abandonner, sa fierté de princesse à jamais détruite, désormais prête à tout pour que tout cesse, mais sa tortionnaire avait ses ordres elle ne cesserait que sur l'ordre de Jabba qui l'encourageait en la guidant.

Leia, épuisée et brisée, pendait mollement à son crochet, ses forces déclinant face à la cruauté sans limite de Niia. La salle de Jabba, saturée de l'odeur de la souffrance et de la luxure, résonnait encore des échos de ses cris, mais un silence lourd s'installa soudain, comme si la foule retenait son souffle en attendant la suite.

Niia, avec une lenteur délibérée, fit glisser une main gantée le long du dos de Leia, traçant une ligne de feu imaginaire, avant de brandir un nouveau dispositif, plus menaçant encore que les précédents. Ce fut alors que Jabba, d'une voix grasseyante et pénétrante, donna l'ordre de passer à l'étape suivante.

Niia sans ménagement introduisit une boule dans le vagin et l'anus de Leia qui progressèrent au plus profond quand Jabba appuya un bouton, les boules provoquèrent une décharge électrique sur toute leur surface choquant l'intimité de la princesse déchue.

Les boules, une fois activées, envoyèrent des décharges électriques intenses qui traversèrent chaque centimètre carré du corps de Leia. Chaque muscle se contracta violemment, provoquant des spasmes qui la firent se tordre contre ses liens.

Le corps de Leia s'agita de manière grotesque dans une danse où elle ne savait plus ce qu'elle ressentait plaisir douleur, elle ne savait plus le collier Sith transformait toute ses perceptions, elle hurlait au rythme des décharges qui cessaient, reprenaient avec des intensités qui variaient pour qu'elle ne puisse jamais s'y habituer.

Niia prit des fouets électroniques qui émettaient des arcs électrique qu'elle fit claquer au sol sous les vivats de la cour de Jabba, alors que Leia se tordait déjà sous l'effet des boules elle frappa le corps de sa victime.

Niia, avec une cruauté sans pareille, introduisit une nouvelle sonde dans l'anus de Leia, munie de pointes acérées qui s'enfoncèrent profondément, provoquant des hurlements déchirants.

La princesse, déjà à bout de forces, se tordait sous les liens qui la retenaient fermement, son corps lacéré par les multiples instruments de ****. Les gardes gamorréens, excités par le spectacle, encourageaient Niia à continuer, leurs voix rauques se mêlant aux cris de douleur de Leia.

La salle de Jabba était saturée de l'odeur de sang et de sueur, l'atmosphère pesante et chargée de sadisme. Niia, avec une précision chirurgicale, ajusta l'angle de la sonde, maximisant la douleur infligée à chaque mouvement.

Leia cria brisée.

• Pitié maître Jabba je suis votre chienne faites de moi ce que vous voulez pitié.

Jabba sourit enfin le moment voulu, il fit un signe tout cessa. le droïde traducteur dit :

• Tu as mis du temps bien tu va pouvoir me prouver ta sincérité emmenez là à l'infirmerie je la veut vierge et remise sur pied pour demain.

Les gardes traînèrent Leia hors de la salle, son corps meurtri et tremblant, tandis que Niia s'approcha pour l'examiner d'un œil clinique.

• Elle a tenu plus longtemps que prévu, murmura-t-elle en caressant les ecchymoses sur les bras de Leia.
• Mais demain, elle sera prête à baiser comme une esclave. Niia fit un signe.

les gardes jetèrent Leia sur un brancard, ses liens desserrés mais toujours présents. Pendant le transport vers l'infirmerie, Leia fixait le plafond, son esprit en ruine, incapable de distinguer la réalité de la folie. Les souvenirs de la **** se mêlaient à ceux de sa vie passée, créant un chaos mental qui menaçait de la consumer, elle fut plongée dans la cuve à Bacta.