conclusions

Enfin elle me ramena jusqu'au bureau de Saochi qui m'accueillit en me caressant les cheveux, mes seins.

• alors ton avis.
• elle supporte mal la douleur et est incapable de jouir sur ordre ou seulement quand on l'autorise par contre c'est une vraie chienne en chaleur toujours prête à satisfaire le premier mal qui passe, son envie outrepasse sa honte.

Saochi sourit, ses lèvres roses s'étirant sur ses dents perlées, tandis qu'elle continuait à caresser mes cheveux. Ses doigts étaient doux et apaisants, mais je savais que c'était trompeur. Elle était capable de passer de la douceur à la cruauté en un instant.

• Je vois, dit-elle, son regard glissant sur mon corps. Tu sembles avoir des possibilités intéressantes.

Satochi se tenait debout derrière moi, ses mains croisées dans son dos. Elle ne disait rien, mais son silence était plus éloquent que tout commentaire.

Satochi se tenait debout derrière moi, ses mains croisées dans son dos. Elle ne disait rien, mais son silence était plus éloquent que tout commentaire.

• voyons tu disais qu'elle supportait mal la douleur ? Satochi hocha la tête voyons

Saochi s'assit sur une chaise et me dit .

• viens sur mes genoux

j'obéissais alors qu'elle jouait avec mes pinces à clochettes, les faisant tinter doucement entre ses doigts. Sa main gauche caressait mes cheveux, tandis que sa main droite faisait danser les pinces, tirant légèrement sur mes tétons qui répondaient par un élancement de douleur. Je me hissai sur ses genoux, mes jambes repliées sous moi, et mes mains posées sur ses cuisses. Elle me regardait avec un sourire détendu, ses yeux brillant d'une lueur amusée.

elle leva la main et frappa avec adresse mes fesses , la paume de sa main claquant sur ma peau nue avec un bruit sec qui fit résonner les clochettes des pinces qui me comprimaient les tétons. Je sursautai, mes muscles se contractant sous la douleur, mais Saochi me maintint fermement en place, ses cuisses serrées autour des miennes. Elle frappa à nouveau, le même endroit, avec la même ****, et je sentis une vague de chaleur se répandre dans mes fesses, comme si la peau était en flammes. le gode et le plug se révoltaient dans mon intimité.

• on va aller jusqu'à quinze.

elle frappa à nouveau, la douleur était insupportable mais je ne pouvais pas bouger, Saochi me maintenait fermement en place. Ma peau était en feu, et chaque coup de sa main était comme une décharge électrique qui me parcourait le corps. Je sentais les pinces aux clochettes tinter à chaque impact, ajoutant une note aigüe à la symphonie de douleur qui résonnait dans la pièce.

• douze, treize, quatorze... quinze je m'effondrais à la limite de la conscience

Saochi me lâcha enfin, et je m'effondrai sur le sol, haletante, mes muscles endoloris. Le gode et le plug semblaient vibrer de plus en plus fort, comme s'ils se révoltaient contre la douleur qui me consumait. Les clochettes des pinces s'étaient arrêtées de tinter, mais je les sentais encore vibrer dans mes tétons, comme si elles étaient devenues une partie de mon corps. Je levai les yeux vers Saochi, qui me regardait avec un air de satisfaction, ses lèvres affichait en un sourire satisfait.

• finalement j'aime bien elle reste sensible, il faut qu'elle reste comme ça, qu'elle ne s'habitue jamais, c'est agréable de la voir ainsi. Avoue que tu es comblée.
• bien que groggie et incapable de répondre avec des mots, je hochais la tête pour approuver