caresses lesbiennes

Marie se rendit compte que Christelle s'était rapprochée d'elle. Elle ne se déroba pas et soutint son regard lorsque la jeune fille lui piqua un petit baiser sur les lèvres.
"Tu l'as déjà fait, au moins?" demanda Christelle.
"Jamais, et toi?"
"Une fois, pour voir, avec une copine de fac."
"Et alors?"
"Rien d'extraordinaire."
"Je sens qu'il va nous falloir improviser," dit Marie avec un pâle sourire.
Christelle lui sourit en retour : "Bon, ben, que la meilleure gagne."

Elles unirent leurs bouches pour un long et lent baiser avec la langue, en même temps qu'elles se caressaient sur tout le corps, le dos, les hanches, les cuisses. Malgré le danger de la situation, Marie se sentit troublée : ses tétons qui frottaient contre ceux de Christelle se durcirent et, en dépit de la douleur qui persistait du viol infligé par Marc, son sexe commença à s'humidifier.
Elle sentit que sa partenaire éprouvait la même chose. Lorsque leur baiser se rompit, Christelle fut la première à se pencher pour lui embrasser, lui lécher et lui sucer longuement les mamelons. La jeune fille se renversa ensuite en arrière pour offrir ses tétons eux aussi bien raides à la bouche de Marie. En même temps, celle-ci caressait d'une main le ventre de Christelle, sa motte, sa fente.
Lorsqu'avec deux doigts elle écarta les grandes lèvres pour pénétrer l'orifice, Christelle eut un petit cri de douleur.
"Attention, j'ai encore un peu mal à cause de... ce qu'ils m'ont fait."
"Moi aussi," avoua Marie. "Tu préfères qu'on se serve de nos langues?"
"D'accord. Tu te mets dessous et moi dessus?"

Marie acquiesca et s'allongea sur le dos, cuisses ouvertes. Christelle vint se mettre sur elle en soixante-neuf et commença à lui lécher la chatte, en même temps qu'elle plaquait son propre minou humide sur les lèvres de Marie.
Celle-ci commença à la brouter en retour, et fut surprise de devoir reconnaître que l'odeur et le goût l'excitaient follement. Adolescente, il lui était arrivé après s'être masturbée de se sucer les doigts pour voir, et elle avait trouvé cela plutôt dégoûtant. Mais là, le sexe de cette autre femme qui mouillait contre sa bouche la rendait dingue. Moins toutefois que la langue de Christelle qui s'activait sur sa fente, allant jusqu'à son clitoris érigé, avec plus d'habileté et de tendresse que n'en avaient jamais montré Paul ni aucun des garçons qui avant lui avaient mis leur bouche à cet endroit. Marie sentit qu'elle allait craquer et perdre le jeu, et se hâta de s'intéresser elle aussi au petit bouton de sa partenaire.