côté obscur

Tisha ne pouvait plus résister à ces ombres qui se glissaient dans son cerveau, elle céda au maître des lieux, ses lèvres enserrèrent le sexe monstrueux et commença à aller et venir, cherchant à faire au plus vite afin d'en finir au plus vite.

le fouet s'arrêta de s'acharner sur son dos, ses fesses, Tisha sentait les ombres se glisser en elle réveiller ses pulsions les plus bestiales, sa répulsion devenait un désir grandissant ses mains caressèrent son sexe et son clitoris, son corps ne lui répondait plus.

Les ombres dans son esprit semblaient se nourrir de sa soumission, chaque mouvement précipité attisant une faim primitive qu'elle ne pouvait plus ignorer. Le maître, silencieux, laissait échapper des râles gutturaux, ses mains crispées sur ses cheveux, l'obligeant à aller plus loin.

Tisha sentait son corps se trahir, ses caresses devenant plus insistantes, son clitoris palpitant sous ses doigts tandis que le sexe imposant remplissait sa bouche. La douleur et le plaisir se mêlaient en un étrange ballet, ses fesses brûlantes sous les marques du fouet, mais elle ne pouvait plus s'arrêter.

elle se mit à gémir quand une soumise comme elle fut trainée jusqu'à ses cuisse et se mit à lécher son anus et introduire ses doigts dans son vagin, tout lui échappait, elle s'abandonnait dans ses pulsion sexuelles qui s'éveillaient elle.

Le côté obscur de la **** prenait le contrôle de son corps, elle en avait assez de résister pour subir encore plus de tourment, chaque seconde renforçant l'emprise des ombres sur son âme. Les caresses insistantes sur son clitoris, alliées aux doigts profondément enfoncés dans son vagin, la plongeaient dans un abyssse de plaisir et de douleur, où les frontières entre consentement et soumission se dissolvaient.

Le maître, toujours silencieux, resserrait son étreinte sur ses Lekku, l'obligeant à accélérer le rythme, tandis que ses gémissements se transformaient en cris gutturaux qui résonnaient dans la pièce.

Quand le sexe du maître bandait formidablement, il tira les Lekku de Tisha cruellement forçant Tisha à se relever et positionner son vagin sur son gland.

Le maître la maintint fermement en position, ses mains agrippant ses hanches avec une **** qui lui meurtrissait la peau, avec la **** il l'empala d'un coup sec qui percuta le fond de son vagin elle hurla comme jamais.

Tisha sentait son corps trembler, non pas de désir, mais de peur et de révolte. Pourtant, les ombres dans son esprit l'incitaient à continuer, à se soumettre complètement. Chaque mouvement était une ****, mais elle ne pouvait plus s'arrêter.

Son vagin était défoncé mais en plus c'est elle qui allait et venait son corps ne lui répondait plus il s'empalait alors que le maître obscur la regardait faire avec un air cruel et amusé.

Les ombres en elle semblaient triompher, se nourrissant de chaque gémissement qui échappait à ses lèvres. Le maître, toujours impassible, resserrait son étreinte, ses doigts s'enfonçant dans sa chair comme des griffes. Tisha sentait son corps se déchirer, chaque mouvement une nouvelle ****, mais elle ne pouvait plus résister. Les ombres l'incitaient à continuer, à se soumettre complètement, à abandonner toute trace de résistance. Chaque seconde était une éternité de douleur et de plaisir mêlés, les frontières entre consentement et soumission s'estompant peu à peu. Le maître, silencieux, la regardait avec une cruauté qui la glaçait, ses yeux brillant d'une lueur sinistre.

Alors qu'elle commençait à sombrer dans l'inconscience sous les assauts de ses orgasmes et de la douleur, enfin son bourreau jouit en elle d'un rire de victoire, sa semence était froide comme la mort, elle eut l'impression que de l'azote l'envahissait, elle hurla d'horreur mais rien n'y faisait, il la maintenait, l'obligeant à sentir ce froid envahir son intimité jusqu'à ce que cela coule d'elle sous une forme d'une substance noirâtre.

Avec horreur elle l'entendit dire.

• j'implante peut être en toi la conscience du maître, un jour peut-être à terme tu le ferras renaître.

Tisha, écrasée par le poids de l'horreur qui venait de se dérouler, sentait son corps trembler de douleur et de dégoût. Les ombres en elle semblaient se réjouir de sa soumission totale, se nourrissant de chaque larme et de chaque cri étouffé qui sortait de sa gorge.

Le maître, toujours impassible, la regardait avec une cruauté sans pareille, ses yeux brillant d'une lueur sinistre qui la glaçait jusqu'au fond de l'âme. Il lui caressa les cheveux d'une main froide et sans pitié, murmurant des mots inintelligibles qui résonnaient dans son esprit comme une malédiction.