au fond de la déchéance

Harlenton, toujours ravi de ma détresse, décida de pousser plus loin l'humiliation. Il appela d'autres hommes, leurs visages cruels et excités par le spectacle. Chacun avait une arme ou un outil, prêt à infliger une nouvelle douleur. Je les regardais, impuissante, tandis que mon corps tremblait de douleur et de peur.

je me mis à avaler mes excréments dégoûté et nauséeuse, chaque bouchée était une **** plus abominable que la précédente. Les larmes brûlaient mes yeux tandis que je sentais mon estomac se soulever, mais Harlenton me maintenait sans pitié, son étreinte implacable. Les hommes autour de nous ricanaient, leurs voix résonnaient dans la pièce comme une symphonie de cruauté. Lorsque j'eus fini, il me jeta un seau d'eau glacée en pleine figure, me faisant hoqueter.

mon bourreau approcha avec un jet d'eau qu'il régla au plus fort et profita que mes cuisses soit grandes ouvertes pour me laver à sa manière.

Les jets d'eau glacée me cinglaient la peau, chaque gouttelette brûlait comme du feu. Harlenton, toujours souriant, semblait se délecter de mon supplice. Les hommes autour de nous hurlaient, leurs voix étaient une cacophonie de haine et de plaisir. Je sentais mon corps se briser, morceau par morceau, sous cette **** incessante. Chaque seconde était une éternité de douleur, et je savais que je ne pourrais pas tenir beaucoup plus longtemps.

Une fois finit Harlenton, fit aux hommes présent.

• ce déchet vous appartiens vous pouvez la violer, la sodomiser, tout ce que vous n'avez jamais fait à une femme elle aimera, c'est gratuit.

Les hommes ne se firent pas prier.

Les hommes se jetèrent sur moi avec une sauvagerie sans précédent, leurs mains brutales m'agrippant de toutes parts. Chacun voulait sa part de mon corps brisé, et je sentais mon esprit s'échapper, incapable de supporter l'horreur qui se déroulait, mais mon corps lui m'échappait s'ouvrait toujours plus à cet assaut demandant leur luxure, je mouillais comme jamais d'être ainsi traité.

L'un d'eux m'empoigna les cheveux, me forçant à le regarder pendant qu'il me violait la bouche, son rire sadique résonnant à mes oreilles. Un autre me tenait les jambes écartées, me pénétrant avec une brutalité qui me faisait hurler.

Les hommes se relayaient sans pitié, chacun plus brutal que le précédent, leurs cris de plaisir se mêlant à mes hurlements de douleur. Harlenton, toujours présent, encourageait chaque nouvelle atrocité, son rire sadique résonnant dans la pièce comme une musique infernale.

Je sentais mon corps se déchirer, mes muscles s'étirer au-delà du supportable, mais aucun de mes cris ne semblait émouvoir quiconque. L'un d'eux me saisit les bras, les tordant derrière mon dos tandis qu'un autre me maintenait les jambes écartées, me maintenant en position pour un nouveau viol. Chaque pénétration était une lame qui me transperçait l'âme, chaque coup me faisait cracher un cri déchirant.

Un homme qui m'avait déjà violé revint me pénétra et je sentis un liquide chaud me remplir le vagin c'était son urine, alors qu'un autre dans ma bouche imitait son exemple. enfin je sombrais dans l'inconscience complètement souillée, mais mon corps lui était assouvis par cette déchéance.