asservie pour servir

• montre moi comment tu es une chienne en chaleur, ordonna Tarlon, sa voix basse et menaçante, tandis que ses doigts s'enfonçaient dans la chair de Tisha.

Elle savait qu'elle devait obéir, chaque mouvement calculé pour ne pas éveiller ses soupçons. Elle se mit à genoux, ses mains tremblantes posées sur le lit, et se mit à se frotter contre lui, jouant le rôle de la soumise en chaleur, gémissant comme si elle était possédée par son désir, quémandant le fait d'être possédée, d'être sa chose.

Il la prit par les lekku tira pour qu'elle regarde vers le haut,

• ouvre la bouche

il prit un oeuf de tesky le malaxa et lui cracha dans la bouche, son geste brutal et dégoûtant laissant Tisha étouffée, l'écume tiède glissant le long de son menton. Tarlon ricana, un son bas et menaçant, tout en maintenant sa prise ferme sur ses lekku, la forçant à le regarder droit dans les yeux.

• Tu aimes ça, hein? grogna-t-il, ses paroles chargées de haine et de domination. Tu aimes être traitée comme la chienne que tu es.

Tisha, les larmes aux yeux, hocha faiblement la tête, jouant toujours son rôle,

• je vis pour servir maître.

il prit une banane coriolis multicolore et si grande, sans ménagement il la pénétra avec une brutalité qui fit trembler Tisha. Chaque centimètre ajouté était une douleur aiguë, et pourtant, elle savait qu'elle devait rester silencieuse, son rôle de soumise exigeant une obéissance totale. Les larmes coulaient maintenant librement, mêlant leur sel à l'écume tiède sur son menton. Tarlon, les yeux brillants de cruauté, murmurait des insultes entre ses dents serrées, chaque mot comme une lame qui la transperçait plus profondément que la banane enfoncée en elle. Elle sentait son souffle chaud contre sa peau, une haleine lourde et repoussante, tandis qu'il la maintenait fermement, sans pitié.

• fais l'amour à ce fruit peut être que je t'honorerais si tu arrives à jouir avec.

Tarlon's rires échappés, rauques et sans pitié, accompagnaient chaque mouvement brusque qu'il imprimait au fruit en Tisha. Chaque pouce enfoncé la faisait haleter, mais elle refoulait ses cris, les transformant en gémissements étouffés. Ses larmes avaient cessé de couler, remplacées par une résignation morose. Tisha commença à aller et venir s'empalant et venant mais n'arrivant qu'à se laisser jusqu'à la moitié du fruit.

• jusqu'au bout je ne veux plus le voir dépasser.

Les muscles de Tisha se contractaient à chaque mouvement, son corps tremblant sous l'effort. Tarlon, les yeux injectés de sang, la tenait fermement, ses doigts enfoncés dans ses épaules comme des serres. Chaque pouce enfoncé était une vague de douleur qui menaçait de la submerger, mais elle savait qu'elle ne pouvait pas fléchir. Elle ferma les yeux, essayant de s'échapper dans un endroit où la douleur n'existait pas, mais la voix de Tarlon la ramenait sans cesse à la réalité. "Jusqu'à ta jouissance" répétait-il, chaque mot comme un coup de fouet.

L'emprise de Tarlon sur les épaules de Tisha se resserra tandis qu'il la regardait lutter pour obéir à son ordre. La banane coriolis, maintenant mouillée par sa cyprine et les vestiges de sa brutalité passée, semblait se moquer d'elle en dépassant de son sexe. Il se pencha plus près, son souffle chaud contre son oreille, et murmura : « Tu vas finir ça, ou tu vas le regretter. » Sa voix était un couteau, tranchant le silence qui s'était abattu sur la pièce. Le corps de Tisha tremblait, ses muscles se tendaient tandis qu'elle se forçait à bouger, chaque centimètre étant une lutte contre la douleur et l'humiliation.

lassé il prit le bout de la banane et commença à en branler Tisha,

lassé il prit le bout de la banane et commença à en branler Tisha, ses mouvements devenant de plus en plus violents tandis que sa colère montait. Chaque coup de banane dans le vagin de Tishaqu'il assénait était accompagné d'une insulte, et Tisha, les yeux écarquillés de douleur, sentait son corps se briser sous la **** de l'assaut. Elle essayait de crier, mais sa voix était étouffée par les larmes et la terreur qui l'envahissait.

Tarlon, les yeux injectés de sang, semblait prendre plaisir à chaque gémissement qui sortait de sa bouche, et il accentuait ses coups pour en extirper encore plus. Tisha pourtant sentit tout d'un coup son orgasme la déchirer comme la foudre qui la disloquait, Tarlon hurla de victoire et se jeta sur elle laissant la banane dans son vagin pendant qu'il la sodomisa d'un coup.

Le corps de Tisha était trempé de sueur, chaque muscle tendu sous l'assaut brutal de Tarlon. La banane, maintenant glissante et presque déchirée par la **** des mouvements, semblait symboliser l'humiliation totale à laquelle elle était soumise. Tarlon, les yeux fous de colère et de domination, hurlait avec une joie sadique chaque fois qu'il la pénétrait, son souffle brûlant contre sa peau.

Tisha, les larmes séchées par le choc, sentait son esprit se détacher de son corps, comme si elle était une spectatrice de sa propre souffrance. Chaque coup était une lame qui la déchirait, mais elle savait qu'elle ne pouvait pas s'arrêter, ne pouvait pas montrer de faiblesse, elle fit appel à ses instinct primitif de twi'lek devenant la chose de son tortionnaire.

Les doigts de Tarlon s'enfoncèrent encore plus dans les épaules de Tisha, ses ongles laissant des marques rouges sur sa peau pâle. Il la tenait fermement, comme si elle allait s'échapper, bien qu'elle fût trop épuisée pour même tenter de se libérer. La sueur coulait le long de son dos, mélangeant son odeur musquée à celle de la peur qui émanait d'elle. Chaque mouvement de Tarlon était une ****, chaque coup une nouvelle vague de douleur qui menaçait de la submerger. Tisha, les yeux fermés, essayait de se concentrer sur sa respiration, mais le souffle chaud de Tarlon contre sa nuque la ramenait sans cesse à la réalité.

soudain il jouit enfin en elle, avec un cri de victoire, "l'empire triomphe toujours." Tarlon se retira d'elle, son souffle lourd et haletant, il abandonna la banane en elle comme un détritus dans une poubelle et parti se doucher. Tisha, épuisée et brisée, resta allongée sur le lit, son corps endolori et son esprit en lambeaux.

Une gifle la ramena à la conscience.

• tu as un 1/4 d'heure pour me rejoindre auprès de ta maîtresse, ne soit pas en retard sinon ...