Tu vas les violer !

{if ligote = true} Tu lui donnes un coup de pied qui l’assomme. Les deux soldates sont maintenant inconscientes… {endif}

{if hutte = true} Ces salopes osent baiser après ce qu’elles ont fait ! Voilà qui te rend fou ! Tu veux leur apprendre le respect… Tu remarques qu’elles sont laissées leurs armes à l’extérieur du bâtiment. Voilà une erreur qu’elles vont regretter amèrement.

Alors que les deux pouffiasses se font des mamours, tu saisis une masse d’arme et entres en courant dans la hutte. Elles n’ont même pas le temps de réagir que tu les assommes chacune d’un coup de masse.{endif}

Ah, elles allaient voir ce qu’elles allaient voir, pas de pitié pour ces truies. Elles croyaient qu’elles pouvaient réduire ton village en cendre, et faire comme si de rien n’était, elles n’étaient pas au bout de leurs surprises !

Quand la blonde se réveille, tu as eu le temps d’attacher la rousse, tu lui as mis un morceau de bois dans la bouche pour qu’elle ne puisse pas parler et assiste, impuissante, au sort que tu réserves à la blonde…

Celle-ci regarde autour d’elle. Tu as utilisé une corde pour lui lier les mains derrière le dos.

« Qu’est-ce que vous allez faire de moi ?! »

Pour toute réponse, tu commences à lui ouvrir l’anus.

« Non, par pitié ! on ne m’a jamais fait ça ! Vous allez me déchirer ! »

Tu y comptes bien !

Ta bite est dure comme un roc. Tu agrippes les jambes de la sale catin, et alors qu’elle te supplie de ne pas la sodomiser, tu n’en tiens aucun compte et tu commences à lui fourrer ton énorme mandrin dans le cul. La petite salope a mal,

Mais tu vois bien que ça lui fait plaisir aussi. Peu t’importe, ça ne durera pas. Tu vas prendre le temps pour les baiser de la pire des façons qui soit, jusqu’à ce qu’elles n’en peuvent plus. Il n’y a que toi qui comptes à cet instant et tu violes cette pute comme la pire des brutes. Tu fourres son cul comme si c’était une chatte bien humide, t’enfonçant jusqu’à la garde avant de recommencer, tu finis par lui déformer son trou du cul.

« Aie ! Arrête j’en peux plus ! répète-t-elle en boucle »

Tu prends ton temps pour sillonner son cul, jusqu’à ce qu’elle ne soit plus qu’un tas de chair à peine consciente.

Tout ce qui reste de conscient chez elle, est sa chatte humide. Elle a du mal à jouir du cul, et maintenant son seul désire est que tu lui enfonces ta bite dans son con ; ou que tu lui laisses au moins la possibilité de se doigter. Mais cette petite pute peut rêver ! Qu’elle souffre !

C’est au tour de la rousse. Après avoir bien attaché la blonde, tu saisis cette traînée. Tu la punis de la même façon que l’autre, de bons gros coups de bite dans le cul, jusqu’à lui grossir le conduit anal.

Il faut les enculer ces salopes ! Leur faire mal ! Tu finis par tirer tes munitions dans le tréfonds de leurs entrailles. Tu recommences, cela dure la journée, lorsque le crépuscule arrive ces salopes ont eu ce qu’elles méritaient…

Tu es satisfait. Tu leur as donné une première bonne leçon.