Tu te précipites sur les soldats.

Tu fonces en hurlant ta rage : Creveeeeeerrrrr ordduuuurres!!

Les deux soldats se regardent, ils n’ont pas l’air d’avoir peur. Ils ne voient qu’un énergumène suicidaire fonçant sur eux. Ils discutent entre eux :

« Regarde ce paysan. Plus de muscles que de cervelle.

— Il est plutôt bien foutu. Ne le tuons pas tout de suite, on pourra s’amuser. »

Tu fonces sur les deux soldats aussi vite que te portent tes jambes. Et en t’approchant, tu te rends compte qu’il s’agit de soldats femmes. L’une dans un justaucorps en métal et est équipée d’une épée.

L’autre d’une masse d’arme.

Tu te jettes sur l’épéiste l’estimant plus dangereuse. Tu parviens à esquiver son premier coup de lame, et tu en profites pour lui flanquer un coup de poing qui la met à terre.

Mais pendant ce temps aveuglé par ta rage, tu as oublié l’autre soldate. Et un coup de masse sur la tête, elle t’envoie à terre. Tu restes conscient le temps d’entendre :

« Il m’a fait mal cet ahuri. Tu l’as tué ?

— Non, il respire encore, il doit avoir la tête solide. »

En fait, tu te sens même capable de te relever. Ce que tu fais, provoquant un second coup de masse qui cette fois t’envoie cette fois dans les bras de Morphée.