Tordu et retord

Je suivis Inga tandis que nous nous dirigions vers la bibliothèque. les lampes qui éclairaient le couloir projetaient des ombres dansantes sur les murs, créant une atmosphère étrange et sinistre. Inga marchait d'un pas rapide, ses talons claquant sur le sol, et je devais presser le pas pour la suivre. Nous passâmes devant des portes fermées, dont certaines portaient des plaques avec des noms étranges, tels que "Salon de lecture", "salle de corrections", "salle de cours" qui me firent frémir en me laissant imaginer ce qui s'y déroulait.

Nous arrivâmes enfin devant une porte en bois massif, ornée d'un heurtoir en forme de lion. Inga leva la main et frappa trois fois, avec une rigidité militaire, avant de tourner la poignée et de pousser la porte. La pièce qui s'ouvrit à nous était immense, avec des étagères de livres qui montaient jusqu'au plafond, et un profond silence régnait. Un homme était assis derrière un grand bureau, les mains jointes, les yeux levés vers nous.

L'homme derrière le bureau me regarda avec un intérêt distant, ses yeux parcourant mon corps de la tête aux pieds, comme s'il évaluait un objet de valeur. Ses mains jointes ne bougeaient pas, mais ses doigts semblaient trembler légèrement, comme s'il réprimait un tic nerveux. Inga s'avança et s'arrêta à côté de moi, son regard fixé sur l'homme avec une déférence qui me sembla excessive.

"Maître Tordu, voici votre élève propre", dit-elle d'une voix neutre, sans inflexion.

Maître Tordu ne répondit pas immédiatement, son regard continuant à me détailler avec une attention minutieuse. Ses yeux s'attardèrent sur mes chevilles, remontèrent le long de mes jambes, s'arrêtèrent un instant sur mes genoux, puis continuèrent leur chemin jusqu'à mon visage. Je sentis un frisson courir le long de mon échine sous son examen impitoyable, son sourire lubrique ne me laissait peu d'illusion sur la sute

Finalement, il détourna les yeux et se tourna vers Inga.

• vous pouvez disposer et fermer la porte en partant.

elle obéit comme une véritable machine.

• déshabille toi, et vient t'asseoir sur mes genoux petite dévergondée

ordonna-t-il, sa voix basse et rauque. J'hésitai un instant, mon cœur battant dans ma poitrine. Mais je savais que je n'avais pas d'autre choix que d'obéir. Je commençai lentement à me déshabiller, mes doigts tremblant tandis que je tâtonnais avec les boutons de ma chemise de nuit. Une fois nue, je m'approchai de lui avec hésitation, les yeux fixés sur le sol. Je m'assis sur ses genoux, sentant ses cuisses dures et inflexibles sous moi.

Il se pencha vers moi, son souffle chaud sur mon cou. Je pouvais sentir ses yeux sur moi, évaluant mon corps avec une faim qui me faisait me sentir à la fois dégoûtée et fascinée. Sa main se mit à me caresser délicieusement la nuque, puis ses mains se saisirent de mes seins. Je sentis une vague de dégoût m'envahir, mais je me forçai à ne rien laisser paraître. Je ne voulais pas subir les conséquences d'une désobéissance.

Il continua à me caresser, ses doigts parcourant ma peau avec une lenteur malsaine. Je sentais ma respiration s'accélérer, mes poumons se remplir d'air à chaque inspiration, puis se vider brutalement à chaque expiration. Je sentais mon cœur battre dans ma poitrine, comme s'il voulait s'échapper de mon corps.

sa main droite descendit jusqu'à mon entrejambe caressant mon pubis, puis descendit, alors que son autre main pinçait douloureusement mon sein.

J'eus un sursaut de douleur, mais je réussis à ne pas crier, me mordant la lèvre inférieure pour étouffer un gémissement. Maître Tordu s'en aperçut et son sourire s'élargit, ses yeux brillant d'un éclat sadique. Il fit glisser son doigt le long de ma fente, me caressant avec une lenteur infernale, me faisant frémir de dégoût et de peur.