Pupet girl

Quand mon frère revint il était joyeux et son regard reflétait les pires évènements pour Hélène et mère, la suite me laissait penser que le pire était parfois de survivre à ceux qu'on aime, j'étais désormais entre les mains d'un fou prêt à tout.

• Bon tu peux faire ton deuil de Hélène sa mort fut épique et les sbires de Saroun savent être imaginatif et particulièrement impitoyable une véritable source d'inspiration.

il me caressa la tête comme il l'aurait fait avec une chienne et plus ça allait j'étais à ses yeux moins que ça.

Il se mit dans un fauteuil se servit un coupe de vin alors que je sombrais dans le désespoir.

• pour mère tout dépendra de toi, si tu es obéissante et sage je veillerais à ce qu'elle vive le plus longtemps possible ainsi que ses 100 servantes, peut être je te laisserais goûter de sa production personnelle cela te réconfortera peut-être de goûter encore une fois de sa maternité.

Il éclata d'un rire de dément avant de se calme,

• ah désormais je suis ton maître n'évoque jamais notre lien de sang en public sinon je t'écorche vive à coup de fouet compris ?

je hochais la tête je voyais dans ses yeux fous qu'il était capable du pire.

• enfile ça, je veux que tu porte cette tenue en permanence sauf contrordre, il jeta des éléments en cuir, que je mis à son amusement à mettre.

-ah c'est sûr cela va te changer du luxe auquel tu avais droit :

il admira le résultat final, passant sa langue sur les lèvres.

va sur le lit à quatre pattes, la survie des servantes dépendra désormais de toi, je pourrais te forcer mais je veux que ce soit volontaire, alors dis moi que tu veux !

j'obéissais, mais je ne comprenais pas, il me cingla les fesses d'un coup de badin, je glapis en tentant de retenir mon cri, soudain je compris, il voulait que je lui demande qu'il me prenne mais j'étais sa soeur il ne pouvait pas me demander ça ! mais en voyant son regard, j'abandonnais tout espoir.

• frère s'il te plaît prend moi fais moi femme. j'avais la nausée en prononçant ces mots.

avant que je comprenne il tira mes bras derrière et d'un coup me prit brutalement, déchirant sans vergogne mon hymen, déchirant presque mon sexe, je hurlais de détresse et de désespoir.

j'eus le souffle coupé il me violait littéralement comme une bête en rut