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Chapter 4 by Gerald F. Gerald F.

Suis-je enceinte?

Hélas non

Est-il déjà trop tard pour que j'aie un autre enfant? Toujours est-il que c'est seulement à trois que se continue notre vie de famille, à Bertrand, à Jérémie et à moi.
Ce jour-là, je suis seule dans l'appartement, me préparant à aller prendre une douche, lorsque j'entends mon beau-fils rentrer de la fac. Il entraîne derrière lui une jeune fille blonde, faisant brièvement les présentations:
"Mélanie, on est ensemble à la fac... Ma belle-mère, Marie-Claude. On te laisse, on a des cours à réviser."
Et ils disparaissent tous deux en direction de la chambre de Jérémie. A en juger par les gémissements à la fois féminins et masculins qui deviennent audibles quelques minutes plus tard, ils s'y sont aussitôt mis à réviser de façon extrêmement studieuse. Je ne peux m'empêcher d'approcher de la porte pour mieux entendre les bruits qui s'en échappent, ma fente mouillant et mes seins se dressant déjà d'excitation. Les gémissements de Mélanie s'intensifient, couvrant les halètements de mon beau-fils. Il me semblent que le plaisir et la douleur s'y mêlent; ai-je entendu Mélanie demander "encule-moi?"
Ma main se glisse sous ma jupe, écarte ma culotte et atteint ma chatte désormais bien humide. Je me renverse en arrière dans un fauteuil, jupe relevée, me pénétrant avec les doigts pendant que ma main restée libre malaxe les bouts de mes seins par dessous chemisier et soutien-gorge, atteignant le plaisir à peu près au moment où Jérémie et sa compagne explosent tous deux en même temps de l'autre côté de la porte.
Bon, il est grand temps que j'aille prendre cette douche. Me débarrassant de mes vêtements déjà fort dérangés, j'entre dans la salle de bains, me caresse un moment devant le miroir, les pointes des seins toujours dures.
C'est dans cette position que Mélanie me trouve en entrant à son tour dans la salle de bains. Surprise, j'ôte les mains de sur mon corps pour lui faire face. L'amie de mon beau-fils est aussi nue que moi, son corps de vingt ans refusant toute comparaison avec le mien. Elle a une demi-tête de plus que moi, et de longues jambes fines de sportive. Mais si nous avons toutes deux une poitrine fort généreuse, ses seins pointent comme des obus, faisant honte aux miens de la pesanteur qui agit sur eux.
Mais son regard n'est en rien dépréciateur lorsqu'il glisse sur mon corps, en même temps qu'elle me dit avec un sourire d'excuse:
"Pardon, j'allais prendre une douche..."
"Toutes ces révisions t'ont mise en sueur?" J'ai la satisfaction de la faire légèrement rougir, mais elle enchaîne aussitôt sans répondre, ses yeux parcourant toujours mon corps nu:
"Vous êtes sacrément belle, je comprends Jérémie, il a bon goût."
Sait-elle que je fais l'amour avec mon beau-fils? J'essaie de contre-attaquer:
"Je te rappelle que c'est avec son père que je suis mariée, pas avec lui."
"Vous savez, Jérémie me raconte plein de choses... Bon, je vous laisse la salle de bains, je reviendrai plus tard prendre cette douche."
Avant qu'elle ait pu regagner la porte, je lui propose "J'allais moi-même en prendre une, mais si tu veux on peut le faire ensemble."
Elle ne se le fait pas dire deux fois et me remercie en se glissant auprès de moi derrière le rideau. J'essaie de respirer sur elle l'odeur de Jérémie avant que la toilette ne la fasse disparaître. Nous sommes serrées sous le jet d'eau dans l'exiguïté de la cabine, Mélanie derrière moi, et ses tétons encore érigés viennent parfois frotter ma peau. Elle me propose de me savonner le dos, j'accepte d'un hochement de tête et sens aussitôt ses mains commencer à me parcourir, venir masser ma nuque et mes épaules. "Ca détend, non?" me glisse-t-elle à l'oreille lorsque je soupire sous sa caresse, qui descend bientôt le long de mes flancs jusqu'à mes hanches.
"Et là, tu aimes?"
Elle n'obtient qu'un long soupir en réponse lorsque ses mains passent par devant, caressant mon ventre puis remontant vers mon buste. Elle prend mes seins dans ses mains, les soulève, les pétrit. Elle appuie son visage ruisselant d'eau contre ma nuque au cheveux courts, embrasse ma peau mouillée tandis que sa main droite descend vers mon entrecuisses. J'écarte légèrement les jambes en signe d'approbation, et c'est maintenant ma fente qui cède, pour la première fois de ma vie, aux caresses d'une autre femme, les lèvres grand ouvertes, un doigt tournant autour de mon clitoris en l'agaçant. Finalement, c'est l'index et le majeur de Mélanie bien enfoncé dans la chatte que je jouis, appuyée des deux mains au mur carrelé de la cabine.
Je me tourne vers elle, bien décide à lui rendre la pareille. A moitié aveuglée par l'eau qui continue à couler, je parcours son corps de mes mains, me penche vers ses deux pastèques, embrasse et mordille ses tétons. En un gémissement, elle me demande de la faire jouir, je m'agenouille devant elle, le visage à la hauteur de sa fente, écarte de mes doigts ses lèvres gonflées d'excitation et introduis ma langue dans son tunnel. Elle soulève sa jambe droite pour la passer par dessus mon épaule, se cramponnant d'une main à la tringle du rideau de douche. Son entrecuisses m'est ainsi largement ouvert, c'est la première fois que j'essaie de faire l'amour à une femme, mais je me fie à mon instinct pour lui donner le plaisir que je voudrais prendre à sa place. Ma langue va de son clitoris dressé à l'entrée de son anus, encouragée par ses râles j'introduis un doigt dans sa fente, puis deux, ma langue continuant à lécher d'un orifice à l'autre. Ma main gauche restée libre pénètre entre mes cuisses, je recommence à me masturber. Au bout de quelques instants je sens que Mélanie se met à décharger, et tout en lui plantant par surprise un doigt dans le trou du cul j'enfonce ma langue bien profond dans sa fente, pour recueillir le plus possible de mouille.
Après l'orgasme, nous restons un moment blotties l'une contre l'autre, affalées sur le tapis de douche. Mélanie a la présence d'esprit de fermer les robinets, avant de murmurer:
"Tu sais, je l'avais déjà fait avec des copines, mais c'est la première fois que je le fais avec une vraie femme, je veux dire une femme de ton âge..."
Vais-je lui révéler que pour moi, qui n'éprouve que fort rarement du désir pour une femme, c'est la première fois tout court que j'ai eu l'occasion de le concrétiser? Mais il y a une question bien plus urgente à trancher...

Que faire?

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