Bien sûr que oui!

Hier soir, Edith et moi avons accompagné Bertrand chez lui. Nous n'avons pas vu son fils, qui dormait, ou faisait semblant de dormir, à l'heure où nous sommes entrés dans l'appartement et avons suivi notre amant commun jusque dans sa chambre. Je me souviens d'une nuit de rêve, Edith me léchant et suçant Bertrand avant de le conduire en moi, Bertrand qui me prend en levrette pendant que je dévore la chatte d'Edith, Edith que je serre dans mes bras tandis que Bertrand la sodomise...
Je suis réveillée par les baisers de mon amie, qui me prend par la main pour m'extraire des bras de Bertrand encore endormi. J'enfile mon déshabillé, semblable à celui qu'elle porte elle-même, et nous sortons de la chambre, enlacées l'une à l'autre. Je réalise avec retard qu'elle n'a pas l'intention de m'emmener prendre le petit déjeuner.
La porte que nous venons de pousser est celle de la chambre de Jérémie. L'adolescent ne dort pas, et son regard est fixé sur nos silhouettes lorsque nous entrons dans la pièce.
"Tu m'as manqué," dit-il en me souriant.
"Tu vois, je finis par te la ramener," se moque gentiment Edith, prenant mon déshabillé par les épaules et le faisant glisser jusqu'à terre.
Elle repousse le drap du lit, découvrant le corps nu de mon petit dieu grec, me pousse doucement vers lui. Les yeux rivés sur le sexe déjà raide, je m'agenouille sur le lit. Edith, dans la meme position, caresse sa verge des doigts puis des lèvres, guide vers elle ma bouche qui ne demande que cela. Je le gobe, l'aspire, le suce, pendant que derrière moi Edith caresse et embrasse mes cheveux, ma nuque, mon dos, mes reins. Je commence à remonter le long du corps de Jérémie, après avoir léché son sexe que je sens glisser sur ma gorge, venir se placer dans le sillon entre mes seins. Ce contact m'affole, et je prends un de mes globes dans chaque main, les rapprochant pour emprisonner la verge de Jérémie, commençant à les malaxer doucement l'un contre l'autre. La caresse excite mon amie qui attrape mes seins par derrière, et c'est elle maintenant qui les pétrit autour du sexe de l'adolescent. Elle aussi a laissé tomber son déshabillé, elle est nue comme nous et je sens les pointes de ses tétons qui s'écrasent contre mon dos. Puis elle m'incite à continuer ma remontée à m'agenouiller sur le bassin de Jérémie, prenant elle-même sa verge du bout des doigts pour la guider en moi. Empalée sur lui, je le chevauche, la langue d'Edith derrière moi pointant tour à tour vers ma raie, mes lèvres intimes, ou le sexe qui va et vient entre elles, tour à tour piqué et léché jusqu'à notre jouissance à tous deux.
"Décidément," dis-je, essoufflée, dans le cou de Jérémie, "tu es vouée aux maîtresses de ton père."
Il a l'air sincèrement peiné.
"Ne va pas croire que j'ai envie d'une femme simplement parce que mon père l'a eue! Pour toi, je n'ai pas besoin de ça. Et avec Edith, on n'a presque rien fait, pas vrai Edith?"
"C'est vrai," approuve mon amie qui est accoudée sur le lit près de nous, "on se caresse juste un peu de temps en temps."
"Ou aussi, des fois, tu me..."
Ils pouffent de rire tous les deux. Edith me racontera plus tard sa vie commune avec Bertrand et Jérémie, les caresses furtives de l'adolescent sur ses seins ou ses fesses, les branlettes ou les fellations rapides qu'elle lui offre. Mais ce sont les étreintes torrides avec Bertrand qu'elle préfère, c'est bien lui l'homme de sa vie... d'ailleurs, ils vont se marier, et bien sûr ils m'ont invitée à la cérémonie.