Coralie voit son statut social bien amoindri après le sortilège lancé par Lucile.

« Qu’est qui te prend ?! Pourquoi tu me parles comme ça ? »

Coralie était estomaquée que Pierrick soit aussi vache avec elle. Elle n’avait rien fait pour le mériter. Pourtant ce n’était pas elle la plus surprise, mais ses amis. Leurs regards se portaient sur elle, comme si un étron se mettait à avoir des revendications, tous pensaient la même chose, comment osait-elle !?

C’est Éric qui le premier trouva la **** de répondre à Coralie.

Par une claque.

« Mais tu oses nous parler ? Tu te prends pour quoi ?

— Mais enfin… »

Pierrick lui prend la tête, et… lui crache dessus !

« Espèce de traînée, tu vas te mettre à genoux, et nous demander pardon de t’adresser à nous comme si on était des potes. Tu n’es qu’un déchet de merde, alors, comporte-toi comme tel. »

Pour faire bonne mesure, Élodie derrière Coralie lui donna un coup de pied au cul. Lucile ne résista pas à la tentation de l’imiter et lui botta les fesses, elle ressentit une énorme satisfaction à laisser l’empreinte de sa chaussure sale sur le derrière de sa rivale, elle en rajouta :

« Qu’est que tu fais encore debout ! À genoux comme une salope ! »

Ça faisait du bien de traiter Coralie comme elle le méritait ! Voilà qu’elle allait apprendre sa place, à genoux devant elle et le reste du monde. Certains sont faits pour dominer d’autres pour se soumettre, et c’est ce qu’elle allait apprendre à cette conne.