Tu succombes à leur charme.

Ta cervelle est court-circuitée, toute ta pensée passe par ta queue. Il y a une chose que tu veux, fourrer ces petites salopes !

Et c’est qu’elles semblent assez disposées à faciliter tes envies. À peine ont-elles remarqué que tu t’étais réveillé, qu’en voilà une qui te monte à califourchon. Il ne lui faut que quelques secondes pour que sa chatte s’emboîte sur ta bite. Elle commence à se remuer du bassin, tu sens que cette salope est en chaleur. Sa copine, pas rancunière de ne pas être la première à se faire sauter, lui mordille un téton.

Alors que tu reprends tes forces, tu te lèves et renverses cette petite dévergondée qui te chevauche. C’est toi qui vas lui matraquer la chatte ! Tu lui imposes ton rythme, tu lui fourres ton mandrin dans son con bien profondément ! Quand tu sens que cette salope est sur le point de jouir, tu sens que sa chatte est parcourue de spasmes, tu n’en peux plus ; ton sexe est compressé par la boîte à jus de cette salope... Tu décharges ton foutre dans son ventre, c’est tout ce qu’elle mérite.

Quand tu te recules, cette petite traînée semble essoufflée par ce que tu lui as mis. Tu reprends ton souffle toi aussi et commences à réfléchir. Baiser c’est bien, mais il faut que tu en saches plus sur ce qui est arrivé au village.

« Si vous êtes ici pour nettoyer les dégâts, qui a tué les habitants du village ?

La rousse répond :

— Ça doit être l’escouade écarlate, les âmes damnées de l’impératrice. Sa **** personnelle.

— Qui est leur chef ?

— On ne sait pas, réplique la blonde, tout n’est que rumeur à leur sujet. Mais ils sont responsables d’un paquet d’atrocité ; et vouloir en savoir trop sur eux, c’est un peu chercher les ennuis…

— Et si on s’occupait de moi plutôt que de ressasser les mauvais souvenirs. »

La rousse est sur le lit le cul en l’air, prête à être sailli comme une chienne en chaleur. Ta bite se redresse immédiatement à ce spectacle

Tu la prends en levrette, et commences à la pénétrer, bite la première. Cette traînée est une vraie couineuse, alors que tu la baises elle n’arrête pas de gueuler. Ça ne te déplaît pas ; t’aimes ça, qu’on ressente la puissance de ta verge. D’ailleurs tu commences à la pilonner de plus en plus vite à mesure que tu sens tes couilles se remplir de foutre à nouveau. Tu ne t’en croyais pas capable, mais tu lui décharges un véritable torrent de foutre dans le con.

Tu t’es bien amusée avec ces deux salopes. Mais si elles n’ont pas tué, elles ont quand même incendié ton village, peux-tu leur pardonner ?