Chapitre 201 : Catherine remplie !

Le membre de Fabian n'était pas monstrueux. Il faisait une bonne taille mais si Catherine était étirée par sa bite au point de penser qu'elle allait entrer dans son ventre c'était à cause de sa maîtrise de chaque poussée.

Il raclait les parois touchant par moment son poing G.

Son gland touchait d'un coup sec et fort son col de l'utérus grâce à ses coups parfaitement coordonnés. Sans ça, il ne pourrait pas aussi bien lui donner du plaisir ni toucher à chaque fois le fond.

Elle me serre de plus en plus ! Elle ne devrait pas tarder à jouir. Je dois ralentir doucement pour la maintenir dans cet état de presque jouissance et la faire supplier... . Je suis vraiment le pire !

Il affichait le même sourire vilain que plus tôt. Le corps entier de Catherine était malmené. Elle le sentir ralentir mais était toujours envahie par le plaisir. Elle se sentait proche... sans pouvoir atteindre le sommet !

Il fait exprès !

Elle a compris.

« Fabian... espèce de... AH ! »

« Quoi ? Je n'ai pas entendu ? »

« Tu fais exprès de... OH ! »

Dès qu'elle tentait de terminer une phrase il frottait son poing G avant de taper le fond la rendant incapable de s'exprimer et ne pouvait que gémir par réflexe à la merci du bonheur de plaisir.

« De quoi ? »

« De... AAHHH !! »

Ses yeux se sont ouverts cette fois. Elle a un mini-orgasme son corps tremblant. Mais elle a maintenu le contact visuel. Elle était furieuse mais pour lui c'était comme un petit chaton en colère.

Mignonne !

« Arrête de me baiser... nan enfin je veux quand je parle ! »

« Désolé je ne peux pas faire ça !! Ta chatte est trop bonne !! »

« Tant mieux... . »

Elle s'est laissée aller à ses coups par le plaisir de ses mots. Elle se fichait qu'il la défonce et la mette en colère. C'était encore mieux comme un couple se battant comme chien et chat.

PAHH PAHH PAHH PAHH PAAAHHH !!!

Il ne s'était toujours pas arrêté une fois. Elle était toujours au bord de l'orgasme sans jamais y arriver. A présent, elle savourait sans lui parler le plaisir était trop bon pour être décrit.

Et dire qu'il a dix ans de plus que moi... . Bon sang, il joue avec mon corps ! Un homme expérimenté est le meilleur ! Baise ma chatte... baise ma chatte... baise ma chatte de professeur !

Elle était à fond. Elle a rouvert ses yeux captant les seins. Aucun mot juste un échange de regard qui les a encore plus rendus fous sachant pertinemment le plaisir que l'autre recevait pas cet échange.

Fabian en avait mis du temps mais il ressentait aussi un second nan troisième orgasme venir. C'était tellement excitant que même après tout ça il sentait qu'il en avait encore à donner.

Putain merci à mon métier de jeunesse !

Il y avait toujours un sentiment de fierté masculine à satisfaire des dames pareilles !

« Prend ça ! »

PPPPAAAAAAAAAAAAHHHHHHH !!!

Catherine a fondu en étant comblé entièrement. Sa bite en elle ne bougeait pas. Il roulait des hanches la faisant toucher toutes les parois. Il en avait besoin pour se reposer un peu... .

« Ohhhh..... . Merde... c'était si proche ! Encore Fabian ! Fait-moi jouir je n'en peux plus !! Fait comme Valentine... remplie moi de sperme... le tien !! »

« Là je ne peux refuser ses paroles ! »

Les deux étaient au bord de l'extase. Cette boule de plaisir explosant en eux ne pouvait plus être retenu. Ils ont perdu l'esprit, ils ont perdu le sens de la réalité autour d'eux.

Il n'y avait plus que le plaisir !

« Aaaaaahhhhhhhh !! »

« Huummmmm !!!! »

Chacun est venu presque en même temps. En même temps que Catherine sentait son corps se relâcher d'un plaisir électrique une chaleur la remplissait. Sa chatte s'est serrée comme si elle cherchait à lui tirer jusqu'à la dernière goutte.

Fabian se sentit éjaculer sans fin !

Je suis moi-même étonné d'en avoir autant ! Elle me tire encore ! Quelle chatte en manque. Prend tout alors.

Encore quelques secondes plus tard, il a fini de tout donner. Il s'est reculé comme pour observer son œuvre.

« Tu as été super, dit-il. »

« Toi aussi. Mon corps tremble encore. Jouir est vraiment le pire et meilleur truc du monde. Bon sang ! »

« Je comprends ce que tu veux dire. »

Le plaisir si intense du moment avant de se transformer à la fois en manque juste après mais avec toujours cette douce réminiscence du plaisir traversant le corps de long en large.

« J'en peux plus... . Ah... je sens que ça coule. »

« Tu prends la pilule quand même ? »

« Oh oui oui ne t'en fait pas ! »

J'ai complètement oublié de lui dire si c'était bon ou pas mais heureusement que j'ai gardé le réflexe de la prendre même pendant mes périodes de disette. Vu que je n'avais pas d'effet trop négatif je suis restée dessus.

Catherine s'est lentement redressée aussi tentant de trouver une source d'eau pour se désaltérer.

Dans les toilettes de la fête étudiante, autre chose aussi était sur le point de se terminer. Julie enfournait trois doigts dans la chatte de Marina qui retenait son cri de jouissance.

« Huuuummmm... ahhh... . C'était incroyable chérie. »

« C'est toi qui a proposé bébé. »

Julie passait ses mains sur son visage avant de lécher ses doigts enduis du jus de chatte de sa petite amie. Une odeur qu'elle adorait. Quand elle lui a proposé de venir dans les toilettes jouer un peu... comment refuser ?

Elle m'a tripoté avant... je devais bien lui rendre ça... . Quand il s'agit de faire jouir une femme avec mes mains je suis plus douée qu'elle. Je devrais lui apprendre.

Bien sûr que Marina n'était pas plus douée qu'elle mais à **** elle prenait aussi la main sur les gestes lesbiens à **** de devoir satisfaire sa partenaire de plus en plus insatiable.

La gothique a remis sa culotte après s'être essuyée la chatte et les jambes.

« Ahhh... merde j'ai soif maintenant. On devrait retourner à la fête. »

« Au vu de tes joues les gens vont se douter de quelque chose. Ta tête aussi veut tout dire. Tu n'as pas peur de te montrer comme ça ? »

Marina s'est passé un coup sur la figure mélangeant la sueur de son orgasme avec de l'eau. Elle était vraiment trop gênée pour effectivement revenir comme ça. Impossible de cacher son visage remplit de plaisir.

« Ça ira comme ça ? »

Julie a ri.

« Si j'étais autre chose que ta petite amie je dirais que oui mais les autres n'y verront que du feu. »

« Je l'espère. »

Le couple est retourné dans la salle de fête... . La soirée était presque finie pour elles mais peut-être pas pour tout le monde.