le doute

Deux esclaves emmèneront Leïa à l'infirmerie qui était exceptionnellement équipée, elle fut plongée dans une cuve à bacta.

L'eau tiède enveloppa son corps meurtri, mais aucun soulagement ne vint apaiser la tempête qui faisait rage en elle. Les esclaves, silencieuses et impassibles, l'observaient tandis qu'elle flottait, prisonnière de son propre esprit.

Le collier, toujours actif, pulsait faiblement contre sa peau, un rappel constant de son asservissement.

Leia sentait son identité s'éroder, les ténèbres en elle gagnant du terrain, et pourtant, une étincelle de résistance persistait, refusant de s'éteindre.

A l'aube un droïd la sortit sans ménagement, une servante l'essuya et l'aida à mettre sa tenue d'esclave qui ne cachait rien mais c'était mieux que rien

Un garde gamoréen la caressa sans que son corps ne se révolte au contraire il en redemandait, son âme hurlait de cette trahison, de répulsion mais elle ne pouvait que constater que son corps fremissait de désir, son sexe s'humidifiait son corps en redemandait.

A l'aube un droïd la sortit sans ménagement, une servante l'essuya et l'aida à mettre sa tenue d'esclave qui ne cachait rien mais c'était mieux que rien. Un garde gamoréen la caressa sans que son corps ne se révolte, au contraire, il en redemandait.

Son âme hurlait de cette trahison, de répulsion, mais elle ne pouvait que constater que son corps frémissait de désir, son sexe s'humidifiait, son corps en redemandait.

Leia se sentait déchirée entre la révulsion qui montait en elle et les réactions de son corps, de plus en plus soumis à l'emprise du collier.

L'esclave attacha une chaîne au collier de Leia et la tira, Leïa suivit docilement, alors que sa guide lui disait :

le maître veut te voir, dit la servante d'une voix monocorde, tout en tirant sur la chaîne attachée à son collier.

Leïa avancait, pieds nus sur le sol froid, chaque pas résonnant dans le silence lourd du corridor. Elle ne pouvait pas se soustraire à l'emprise de la chaîne. Le collier lui serrait le cou, lui rappelant sans cesse qu'elle n'était plus qu'une esclave, une chose à la merci de Jabba.

Lorsque elle arriva devant la porte du harem, la servante s'arrêta et la poussa en avant.