Chapitre 151 : Flirter sur le toit

Si Fabian mangeait tranquillement avec Catherine un couple avait une autre idée pour se relaxer. Julie avait emmené Marina sur le toit d'un des bâtiments. L'université en avait plusieurs.

Celui-ci était proche de la ville. C'était en fait le bâtiment que l'on trouvait adossé à la ville. Le toit était à libre accès mais en cette période froide peu de personne venaient ici pour se reposer.

Cela faisait un certain contraste avec l'été où l'on trouvait tout le monde mangeant leurs sandwichs entre les rires et les blagues. Julie portait un simple jean avec un pull blanc.

« Nous voilà enfin seule. Tu dis que tu as trop peur pour qu'on s'embrasse devant tout le monde. Maintenant on le peut nan ? »

Marina n'a pas répondu. Elle avait beau avoir un style gothique un peu sombre, elle restait timide face à ce genre de petite flatterie. C'est vrai qu'en public elle avait plus de mal à se montrer intime avec Julie.

Elle a donc demandé à aller dans un endroit plus calme mais elle ne s'attendait pas à ce qu'elle soit traînée ici. Julie s'est approchée doucement jusqu'à poser sa main sur la bouche de Marina.

Contre un petit mur, elle s'est penchée et l'a embrassé sur la bouche. Leurs lèvres se sont rencontrées dans un champ de bataille buccal. Leurs langues se sont affrontées mais Julie a vite pris le dessous laissant sa salive dans la bouche de Marina.

Cette dernière se sentait vraiment émoustillée. Chaque contact de Julie était pour elle un courant électrique de bonheur et de plaisir.

Je ne peux vraiment pas lui résister... .

Elle adorait ça tout comme cela la rendait encore plus timide. Mais bon pour Julie... . Elle a alors passé ses bras autour de son cou renforçant encore le baiser. Elle a sentie les mains à moitié froide de sa petite amie parcourir son corps.

Passant de ses épaules à son dos en passant par son ventre. Marina portait évidemment une tenue noire mais qui était moulante. Son pull était aussi assez court montrant un petit bout de ventre.

Heureusement qu'il ne faisait pas non plus grand froid... .

Julie a sentit le mouvement de Marina et a souri intérieurement.

J'adore... . Elle est timide mais aussi entreprenante sachant ce qu'elle veut. Bon sang, je l'aime vraiment cette fille. Elle est vraiment comme une fleur montrant sa vraie couleur pendant la journée... . Enfin la nuit elle s'est aussi se donner à fond.

Julie a reculé après un baiser qui a duré facilement 30 secondes. Elle allait être en manque d'air. Elle a regardé Marina qui était les joues rouges.

« Tu es tellement mignonne tu sais, dit Julie. »

« Toi aussi, répondit Marina. »

Les deux jeunes femmes vivaient une magnifique love story. Julie a senti des papillons dans son ventre. Si elle s'écoutait elle aurait envie de lui manger la chatte là tout de suite.

Mais ce n'est pas pour autant qu'elle ne pouvait pas s'amuser un peu. Elle s'est rapprochée à nouveau. Marina a senti sa petite amie avoir des pensées dangereuses dans ce lieu... pas si privé que ça.

« Julie... on est sur le toit... . Quelqu'un pourrait venir. »

« Ne t'en fait pas on est en hiver. Personne ne viendra ici de la journée. A ton avis pourquoi j'ai choisi cet endroit pour avoir de l'intimité. »

« Mais... . »

« Tsss ! »

Elle a posé son doigt sur sa bouche avant de presser ses lèvres avec. Marina sentit le doigt glisser dessus avant de sentir son corps entrer en contact avec le sien. Julie l'a déplacé sur un petit muret se trouvant là.

Ce n'était pas le muret du vide mais juste pour séparer le toit avec un autre toit collé à lui. Julie a carrément soulevé Marina et l'a posé dessus. Sa main est directement allée caresser son entre-jambe.

« Ah ! Julie ! »

« Julie ? Je n'ai pas encore le droit à mon petit surnom en public ? »

Les deux se disaient des petits mots doux avec des surnoms mignons quand elles étaient vraiment toutes les deux. Marina avait beau avoir un côté gothique et sombre, son côté timide était encore plus craquant.

« Julie... si tu me touches... là... je... ne peux pas le dire... . »

« Je ne vois pas en quoi. Juste toucher les formes de ta petite chatte me fait mouiller tu sais. J'adore la manger tous les week-end quand tu viens chez moi tu sais... . »

« Julie ! »

« J'arrêterais quand tu diras mon petit surnom. »

Marina sentit à la fois la nervosité la traverser mais aussi le plaisir lentement se former. Les doigts doux de Julie touchait lentement sa chatte à travers son leggins et sa culotte commençait à lui mettre l'eau à la bouche.

« Tu sais ce que tu dois faire pourtant... . »

« Ahhh... ne **** pas avec tes doigts tu sais bibi... . »

« Ah voilà tu l'as enfin dit. »

Bibi était son surnom. Cela venait d'une blague entre les deux quand elles se sont rencontrées il y a quelques années maintenant. Julie s'est reculée enlevant sa main de la zone intime.

Mais elle a baissé le leggins de Marina et l'a mise dans l'autre sens avant d'admirer son beau cul. Marina savait que Julie adorait regarder son corps. Elle l'a laissé faire quelques secondes.

Puis juste après elle a remonté le leggins en question la rougeur couvrant totalement son visage. Faire ça sur le toit s'était vraiment assez fou. Mais quand elle a remonté le leggins, elle a senti bien plus clairement l'humidité naissante entre ses cuisses. Sa culotte a accroché dessus lui donnant une sensation de froid.

« Kya ! »

Son petit cri n'a pas échappé à Julie. C'était son objectif il fallait dire. Ses grandes pulsions sexuelles devaient bien se manifester de plusieurs façons. Sortir avec elle n'était pas de tout repos.

Marina n'était pas en reste niveau pulsion... mais elle n'était pas aussi ouverte d'esprit que Julie.

Je dois aussi la satisfaire autant que possible car je ne veux pas qu'elle retourne chez des hommes même temporairement. Elle a dit qu'elle ferait des efforts et pour le moment je dois avouer que cela marche.

Seule contrepartie... sa chatte souffrait énormément !

Elle a réveillé ma libido encore plus. Sentir sa langue sur elle, ses doigts me doigtant... c'est le pied... . Oh, le mieux reste en ciseaux chatte contre chatte.

Marina a senti qu'elle s'égarait. Julie l'a regardait et savait à quoi elle pensait. Il était si simple de lire en elle.

« N'y pense surtout pas, dit Marina. »

« Quoi ? »

« Oui, je sais aussi à quoi tu penses là tout de suite. »

« Et je pense à quoi... . »

« A des choses qui ne te permettrais pas d'entrer dans une église. »

« Pas faux... mais je peux voir ton cul une nouvelle fois ? »

« Vraiment une fille dure à satisfaire. »

Marina ne résistait jamais longtemps aux envies de Julie. Bien sûr, en public là elle ne ferait que prendre une position sexy rapidement. Elle s'est donc cachée derrière le muret et s'est mise à quatre pattes rapidement.

« Voilà satisfaite ? »

« Héhé pour que cela se voit autant, tu mouilles vraiment beaucoup. »

A qui la faute ? Tu ne sais pas garder tes mains sur toi.

« Ne me tente pas, dit Julie. Je lis toujours dans tes pensées. »

« Tsss... rentrons je vais aller m'essuyer sinon je ne pourrais pas finir la journée. »