assouvissement

Il m'allongea à nouveau et enfin m'accorda ce dont il m'avait privé hier, je serrais les dents pour ne pas crier lorsqu'il commença à me pénétrer lentement. Le sexe de Monsieur Goupil semblait encore plus imposant que dans mon souvenir, il me remplissait entièrement.

Mes sens explosaient littéralement leur hypersensibilité de par cette nuit de privation et de fatigue, je ressentais chaque contact et frottement de manière exagérée, je devenais folle c'était trop.

Mes muscles internes se contractaient autour de lui, comme pour tenter de le retenir, de le garder en moi, alors que mon corps était soulagé de la longue attente.

Monsieur Goupil gémit doucement, son souffle chaud caressant mon oreille, et il commença à bouger lentement, ses mouvements calculés et précis, comme s'il voulait prolonger ce moment de plaisir partagé.

Monsieur Goupil continuait à bouger en moi, chaque poussée envoyant des vagues de plaisir dans mon corps. Je pouvais me sentir de plus en plus proche du bord, mon souffle saccadé alors que j’essayais de retenir mes gémissements. Mais il sembla sentir ma libération imminente, et il accéléra le pas, m’enfonçant de plus en plus fort.

« C’est bon, Teyla, laisse-toi aller », m’a-t-il chuchoté à l’oreille, l’haleine chaude et lourde. « Je sais que tu en as envie. »

Je ne pouvais plus me retenir.

Mon corps se détendit complètement, laissant échapper un cri étouffé alors que l'orgasme me submergeait. Les vagues de plaisir déferlaient en moi, faisant trembler chaque fibre de mon être. Monsieur Goupil continua à bouger en moi, prolongeant la durée de mon plaisir, ses mouvements devenant de plus en plus lents et réguliers.

Je sentais ses mains me tenir fermement par les hanches, son souffle chaud caressant mon oreille, et son sexe profondément enfoncé en moi.

Quand enfin il éjacula alors que je jouissais à nouveau, mon corps tel un drogué désormais ne pourrais jamais se priver du corps de mon amant si doué, fougueux et capable de tout.

Monsieur Goupil resta en moi pendant quelques instants, son sexe encore palpitant de plaisir, ses mains toujours fermement agrippées à mes hanches. Puis, lentement, il se retira de moi, laissant échapper un soupir de satisfaction. Il s'allongea à côté de moi, son corps chaud et nu contre le mien, et me prit la main, l'entrelaçant dans la sienne.

Je sentais encore les vagues de plaisir déferler en moi, mon corps tremblant légèrement de l'orgasme qui venait de me submerger.

Monsieur Goupil se tourna vers moi, son regard encore embrumé de plaisir, et me sourit légèrement. Il porta ma main à ses lèvres et y déposa un baiser tendre, son souffle chaud faisant frissonner ma peau. Je sentais encore les palpitations de son sexe contre ma cuisse, et mon corps réagit instinctivement, resserrant les muscles de mon bassin.

• va au toilette cela te soulagera,

A mon retour j'avais évacué toute la pression d'une nuit attachée et frustrée, quand je revins dans la chambre, il faisait des pompes je ne pouvais qu'être fascinée par ce corps musclé.

Il continuait à pomper, son corps se soulevant et s'abaissant avec une régularité hypnotique, les muscles de ses bras et de ses épaules se contractant et se détendant à chaque mouvement.

Je me sentais fascinée par la beauté de son corps, la façon dont la lumière jouait sur ses muscles, mettant en valeur chaque courbe et chaque angle. Je me rapprochai de lui, mes yeux fixés sur son dos, et je sentis mon cœur battre plus vite à mesure que je le regardais.

il se redressa, et me regarda j'avais l'impression d'avoir un fauve en face de moi qui me capturait du regard. Je me léchais inconsciemment les lèvres avant de commencer à me mordiller.

• incapable de résister à tes pulsions, décidemment tu n'apprendras jamais,
• incapable de résister à tes pulsions, décidemment tu n'apprendras jamais - the words hung in the air between us, and I could feel the tension building. I was drawn to him like a moth to a flame, unable to tear my gaze away from his powerful physique.

Il s’est levé de ses pompes, la poitrine gonflée par l’effort, et s’est tourné vers moi. Ses yeux se sont fixés sur les miens, et j’ai senti un frisson parcourir ma colonne vertébrale. Je pouvais sentir la chaleur rayonner de son corps et je pouvais sentir l’odeur musquée de sa sueur.

Sans rompre le contact visuel, il s’est approché lentement de moi, ses mouvements délibérés et calculés.Il s’est levé de ses pompes, la poitrine gonflée par l’effort, et s’est tourné vers moi. Ses yeux se sont fixés sur les miens, et j’ai senti un frisson parcourir ma colonne vertébrale.

Je pouvais sentir la chaleur rayonner de son corps et je pouvais sentir l’odeur musquée de sa sueur.

Sans rompre le contact visuel, il s’est approché lentement de moi, ses mouvements délibérés et calculés.

• aux pieds ordonna-t-il.

sans réfléchir, mon corps me trahissant se jeta à terre à genoux devant Sébastien Goupil.

Son ordre était lourd dans l’air, et j’ai senti un frisson parcourir ma colonne vertébrale alors que j’obéissais. Je l’ai regardé de ma position de soumission, et je pouvais voir la faim dans ses yeux.

Il s’est penché et a doucement passé ses doigts dans mes cheveux, me faisant fermer les yeux et laisser échapper un doux soupir. Je pouvais sentir mon cœur battre la chamade alors qu’il me rapprochait de lui, et je pouvais sentir la chaleur rayonner de son corps.

« Bonne fille », murmura-t-il d’une voix basse et rauque. Je l’ai regardé et j’ai pu voir le désir dans ses yeux.Son ordre était lourd dans l’air, et j’ai senti un frisson parcourir ma colonne vertébrale alors que j’obéissais.

Je l’ai regardé de ma position de soumission, et je pouvais voir la faim dans ses yeux. Il s’est penché et a doucement passé ses doigts dans mes cheveux, me faisant fermer les yeux et laisser échapper un doux soupir. Je pouvais sentir mon cœur battre la chamade alors qu’il me rapprochait de lui, et je pouvais sentir la chaleur rayonner de son corps.

je voyais son érection impressionnante à quelques centimètres de mon visage, je n pu m'empêcher de lécher perversement mes lèvres de désir, la pulsion de goûter cette sucette géante était intenable quand soudain il me bifla deux fois avec son sexe, ce n'était pas douloureux mais c'était humiliant, son sexe percutant mes joues.

• tu la veux ? sa voix était un grognement bas, et je pouvais sentir son désir rayonner de lui par vagues. J’ai hésité un instant, ne sachant pas trop quoi répondre. Je n’avais jamais été dans cette situation auparavant, et je ne savais pas quoi faire. Mais ensuite, j’ai senti une poussée de désir en moi, et je n’ai pas pu résister plus longtemps.
• oui, je la veux, dis-je, ma voix à peine au-dessus d’un murmure. Il a souri, et j’ai pu voir la satisfaction dans ses yeux. Il s’est rapproché de moi, et j’ai senti la chaleur de son corps. sa voix était un grognement bas, et je pouvais sentir son désir rayonner de lui par vagues. J’ai hésité un instant, ne sachant pas trop quoi répondre. Je n’avais jamais été dans cette situation auparavant, et je ne savais pas quoi faire. Mais ensuite, j’ai senti une poussée de désir en moi, et je n’ai pas pu résister plus longtemps.
• oui, je la veux, dis-je, ma voix à peine au-dessus d’un murmure. Il a souri, et j’ai pu voir la satisfaction dans ses yeux. Il s’est rapproché de moi, et j’ai senti la chaleur de son corps.
• lèche et suce montre moi que tu la mérite.

J'ai ouvert la bouche, laissant échapper un soupir silencieux alors que je voyais son sexe se rapprocher de moi.

Il a doucement introduit la tête de son membre entre mes lèvres, j'ai senti un picotement de douceur alors que ma langue a caressé sa peau lisse. Ses yeux se sont fermés, il poussa un grognement bas de satisfaction alors que je commençais à le sucer. J'ai entouré son sexe de mes lèvres, sentant la chaleur et la puissance de son corps.

Je sentais son sexe qui durcissait encore plus dans ma bouche, ses vaisseaux sanguins qui palpitaient contre ma langue. Il a posé ses mains sur mes épaules, ses doigts s'enfonçant doucement dans ma peau tandis qu'il commençait à bouger lentement.

Je me suis adaptée à son rythme, ma bouche suivant les mouvements de son bassin. Il a laissé échapper un soupir rauque, son corps entier se détendant légèrement tandis qu'il se laissait aller au plaisir.

Ses doigts se sont enfoncés plus profondément dans mes épaules, et il a laissé échapper un grognement plus fort, son corps tendu alors qu'il s'approchait de l'orgasme.

Je pouvais sentir la chaleur de son sexe qui augmentait, sa respiration qui devenait plus rapide et plus rauque. Il a poussé un cri étranglé alors qu'il atteignait le summum du plaisir, et j'ai senti un jet de semence chaude qui m'a inondé la langue et la gorge.