déflorée

-bien tu vas bien gagner la réduction de dette de 1000 dollars vient nous allons remédier à cette situation Miel,

il me prit par la main nous approchâmes du lit à baldaquin

• déshabille toi

alors qu'il me regardait, je sentis mon cœur s'emballer dans ma poitrine. Mes doigts tremblaient légèrement lorsque je commençai à retirer mes vêtements, mon cousin me fixant avec une intensité qui me faisait sentir encore plus vulnérable. Je défis la fermeture éclair de ma jupe et la laissai glisser à mes pieds, puis je retirai mon haut, mes mains hésitant un instant avant de retirer mon soutien-gorge. Mon cousin ne disait rien, mais son regard me déshabillait encore plus que mes propres mains.

je gardais une mains sur mes seins nus et mon sexe.

• non non enlève tes mains que je t'admire, tourne toi.

j'obéissais et je tournais sur moi, je sentais son regarde admiratif mais aussi luxurieux, puis il se mit à son tour dans le plus simple appareil et malgré la situation c'était vraiment un bel homme et j'étais impressionnée par la taille de son sexe. Il m'invita à m'allonger sur le lit, sa voix douce et persuasive. Je sentis un frisson parcourir mon échine alors que je m'allongeais sur le lit, les draps de soie glissant sous mon corps nu. Mon cousin s'approcha de moi, son regard caressant la peau, et posa une main sur mon ventre. Ses doigts étaient chauds et légers, et ils semblaient me brûler la peau.

Il m'embrassa affectueusement puis descendit embrassant mon cou, la naissance de mes seins, ses lèvres douces et chaudes me faisant frissonner. Ses doigts effleurèrent mon ventre, puis descendirent lentement vers mon nombril, créant une vague de chaleur qui se propagea dans tout mon corps. Je sentis mes jambes s'entrouvrir instinctivement, comme si mon corps était en train de prendre les devants, ignorant les protestations de mon esprit. Mon cousin continua à m'embrasser, ses lèvres suivant la courbe de mes hanches, puis remontant vers mes seins, qu'il prit dans sa bouche l'un après l'autre, léchant et mordillant délicieusement mes tétons.

Ses lèvres chaude et douces continuaient à explorer mon corps, envoyant des frissons de plaisir le long de ma colonne vertébrale. Je sentais mes tétons se durcir entre ses dents, et une vague de plaisir montait en moi, menaçant de me submerger. Mon cousin s'écarta légèrement, ses yeux brillant de désir, et il posa une main sur mon sexe, ses doigts effleurant la peau sensible.

Ses caresses étaient si experte que mon corps me répondait de moins en moins, j'étais gémissante et fébrile j'oubliais le contrat à ce moment je voulais qu'il me prenne

. Mon cousin sentit mon désir monter et il sourit avec satisfaction. Il se pencha vers moi et murmura à mon oreille:

"Tu es prête, Miel ?"

Je hochais la tête, incapable de parler, et il posa un baiser sur mes lèvres avant de se glisser entre mes jambes. Il entra en moi lentement, me laissant le temps de m'habituer à sa présence. Je sentis une douleur aiguë qui se transforma rapidement en plaisir intense.

Ses lèvres vinrent se poser sur les miennes alors qu'il commençait à bouger en moi, lentement et doucement, comme s'il voulait prolonger ce moment de plaisir partagé. Ses dents effleurèrent mes lèvres, puis il mordilla délicieusement ma lèvre inférieure, envoyant un frisson le long de ma colonne vertébrale. Ses yeux étaient rivés aux miens, brillant d'un désir intense, et je me sentais pris dans leur éclat, incapable de détourner le regard.

• tu aimes ?

je hochais la tête

• bien je vais accélérer je veux que ta défloration soit un bon souvenir

Il commença à bouger plus vite, ses hanches se soulevant et s'abaissant dans un rythme régulier, ses coups de boutoir me faisant gémir de plaisir. Sa sueur perlait sur son front et ses yeux semblaient brûler d'un désir intense. Il se pencha sur moi, ses lèvres vinrent se poser sur les miennes, il me mordilla délicieusement la lèvre inférieure. Ses mains vinrent s'appuyer sur mes hanches, me tenant fermement en place tandis qu'il continuait à me prendre avec une **** et une intensité croissante.

Je le suppliais:

• non, continue !

Il le fit, haletant tout autant que moi jusqu’à ce que j’aperçoive un liquide clair suinter entre nous; je compris qu’il venait de jouir. Il me pénétra de quelques puissants va-et-vient peu avant de se retirer doucement de moi avec un soupir de contentement. J’allais sous les draps alors qu’il se levait delà pour aller à la salle d’eau, après quelques instants il revint souriant et nu devant moi :

-Où vas tu comme ça ?

Je le regardais, surprise, tandis qu'il s'approchait de moi avec un sourire satisfait. Ses yeux brillaient encore de désir, mais il y avait également quelque chose de possessif dans son regard, comme s'il venait de marquer son territoire. Il s'assit au bord du lit, son corps nu à côté du mien, et posa une main sur ma hanche.

"Tu es à moi, maintenant", dit-il, sa voix basse et possessive. "Tu es à moi, et tu vas me rembourser ce que tu me dois."

Il me regardait avec un air satisfait, son sourire toujours présent sur ses lèvres. Sa main sur ma hanche me faisait sentir une chaleur qui se propageait dans tout mon corps. Je me sentais vulnérable et exposée, mais en même temps, il y avait quelque chose dans son regard qui me rassurait. Il se pencha vers moi et m'embrassa tendrement sur la joue, son souffle chaud sur ma peau me faisant frissonner.

"Tu es belle, Miel", dit-il, sa voix douce et caressante.