soeur de tourment ?

Le regard de Maître Tordu ne me quittait pas, comme s'il cherchait à pénétrer mon âme. Je sentis un frisson me parcourir le dos, tandis que je réalisais que j'étais entièrement à sa merci.

"Regardez-moi cette petite chatte, si innocente et pourtant si vicieuse," dit-il d'une voix impitoyable. "Vous allez apprendre à me respecter, à me craindre, et surtout, à m'obéir."

Maître Tordu se pencha en avant, son regard me fixant avec une intensité qui me faisait frémir. Il tendit la main et me tira une mèche de cheveux vers l'avant, la torsadant entre ses doigts pour me forcer à le regarder droit dans les yeux. Je sentis mon cœur battre la chamade tandis qu'il me murmurait à l'oreille : "Tu vas apprendre à aimer la douleur, petite. Tu vas apprendre à en redemander mais surtout tu apprendras que le savoir a un prix celui de l'effort, mais surtout que tu devras tout à tes enseignants" Ses lèvres étaient si proches des miennes que je pouvais sentir son souffle chaud sur ma peau, et je crus un instant qu'il allait m'embrasser, mais il se tint à distance, me laissant suspendue dans l'incertitude. Sa femme, toujours assise sur ses genoux, se pencha en arrière et se mit à le caresser, ses doigts glissant le long de son cou comme des serpents. Je regardai la scène, fascinée malgré moi, tandis que Maître Tordu continuait à me fixer intensément.

Quelqu'un frappa à la porte timidement.

-entrez ordonna maître tordu,

une jeune femme de mon âge à peine adulte aux cheveux noirs et long, avec de magnifiques yeux verts apparut dans une tenue d'étudiante aussi dévergondé que celle de mon placard. elle se mit à genoux baissa les yeux, les mains sur les genoux paume vers le ciel, attendant sans rien dire en position de soumise.

• Nadège voici Miel notre fille, Miel montre la maison présente lui nos employés et explique lui les règles strictes et les punitions encourues si elles sont enfreintes, allez je veux vous voir en salle de cours dans une heure.

Maître Tordu se renversa dans son fauteuil, un sourire satisfait étirant ses lèvres fines, tandis que Miel se relevait lentement, ses yeux verts fixés sur moi avec une expression indéchiffrable. Elle s'approcha de moi, ses pas silencieux sur le sol en bois, et s'arrêta à quelques centimètres de moi, son regard glissant le long de mon corps avant de se fixer sur mon visage.

Miel tendit la main, ses doigts effleurant les miens, et me fit un signe pour la suivre. Je me levai lentement, mes genoux craquant légèrement après avoir été agenouillée pendant si longtemps. Maître Tordu et son épouse ne nous accordèrent pas un regard, trop occupés à se caresser et à se murmurer des choses à l'oreille. Je suivis Miel, qui me guidait à travers les couloirs sombres et silencieux de la maison.

Miel me conduisit au travers du dédale de salles qui composait le château, son attitude soumise me fit penser qu'elle avait subit cette éducation depuis sa naissance.

Miel me conduisit dans une petite pièce sombre, me faisant signe de m'asseoir sur un tabouret en bois au milieu de la pièce. La pièce était remplie de divers instruments de **** et de bondage, et je ne pus m'empêcher de frissonner en regardant autour de moi. Miel remarqua mon regard et sourit doucement.

"Ne vous inquiétez pas, ces jouets ne sont pas pour vous," dit-elle d'une voix douce. "Pas pour le moment, en tout cas."

Miel s'approcha de moi, ses yeux verts fixés sur les miens, et se mit à genoux à côté de moi, ses mains posées sur les genoux, paumes vers le haut. Elle me regarda intensément, comme si elle cherchait à lire en moi, puis se mit à parler d'une voix douce et calme. "Je vais vous expliquer les règles de la maison, mais d'abord, je veux que vous me regardiez." Elle leva la main et me caressa la joue, ses doigts effleurant ma peau avec une douceur surprenante.

• je suis désolée que vous ayez accepté ou demandé qu'il vous aide, vous n'imaginez pas le prix, moi c'est tout ce que j'ai connu jusqu'à présent, j'essayerai de vous soutenir mais je ne pourrais pas intervenir car j'aime ma condition pour vous ce sera peut être long pour vous y faire mais rien n'est impossible car ils sont compétents, vous n'êtes pas la première.

La voix de Miel était apaisante et calmante, mais ses mots étaient lourds de sens. Je ne pouvais m'empêcher de ressentir un sentiment de terreur m'envahir tandis qu'elle parlait. Je ne pouvais pas croire que je m'étais mise dans cette situation, mais il était trop tard pour faire marche arrière maintenant.

Miel a continué à expliquer les règles de la maison, chacune plus stricte et plus contraignante que la précédente. J'ai écouté attentivement, essayant de mémoriser chacune d'elles, sachant que les conséquences de leur violation seraient graves.