rêve ou ?

Salomé me regarda avec douceur

• on verra demain ma belle pour le moment on va aller dormir il est déjà 2 heures du matin, tu vas être morte de fatigue à ton réveil, elle m'embrassa avec affection.

Caïn souleva mon menton pour me regarder dans les yeux que j'avais baissé, posa un baisé chaste sans dire un mot et pourtant jeu l'impression d'être dépossédé de toute volonté.

Je soupirais longuement quand Naomie me mena jusqu'à ma chambre où j'enfilais une nuisette sexy avant de sombrer dans un sommeil sans fond.

Rapidement j'étais en sueur, mon cœur comme un métronome palpitant toujours plus.

Je me retrouvais en face de la porte qui disparu comme si elle n'avait jamais existé, une brume pénétra dans cette chambre onirique. La brume se densifia Caïn torse nu ne portant qu'un pantalon sexy apparu puis Salomé et Naomie à ses côté, mon coeur bondit comme jamais dans ma poitrine.

• Belle à en mourir tu avais raison Salomé, celle-ci avait un regard prédateur hocha la tête, je hume son bouquet virginal, tu avais raison, il sourit j'aperçu des canines si menaçantes mais aussi tentantes.

Ils se penchèrent vers mon lit, je les sentis longeant mes draps Salomé parcourant de ses doigts mon côté gauche, alors que Naomie léchait mon flanc droit, Caïn remontait le long de mes jambes respirant mon intimité alors que ma nuisette disparaissait comme par magie.

-hum délicieux vraiment délicieux,

il posa de doux baisers sur mon intimité un long moment, mon clitoris, mon pubis, mon ventre mon nombril, tous trois me rendaient folle.

Je me cambrais demandant plus, toujours plus, je frémissais de peur mais encore plus de désir.

Ses mains se saisirent de mes seins qu'il embrassa alternativement ou les léchant, mordillant mes tétons si sensibles.

• Ah oui oui pitié encore, ...
• Chut ma belle nous ne faisons que commencer et tu es déjà si demandeuse, son ventre se colla au mien au rythme de mon déhanchement, je sentais son sexe à travers son pantalon, je le voulais tant.
• tu sais ce que je suis ?

je hochais la tête mais je m'en fichais, je le désirais tant.

• m'autorise tu à te goûter ? ses lèvres étaient si proche de ma gorge.

oui oui

Salomé et Naomie gémirent, je sentis avec fébrilité son nez caresser mon cou, ses lèvres se poser sur ma gorge, et avec délice ses dents perforer ma gorge et s'abreuver à ma vie.

A ce moment je me réveillais tout était en place, ma nuisette était présente, je regardais dans un miroir peut être deux vague traces mais plus le fruit de mon imagination, la lumière du jour perçait mes rideaux.

Quelqu'un frappa à la porte, la voix de Naomie s'éleva au travers:

• mademoiselle, madame et monsieur vous attendent dans une demi-heure en bas dans la salle du repas d'hier votre petit déjeuner sera prêt, vous trouverez des affaire propres dans l'armoire.

j'étais tremblante, en sueur, mon coeur dépassait la normale, je mis un moment à reprendre mon calme, j'avais peu de temps pour me laver et me rendre présentable.