une agonie de désir sans fin

Je fus soulevée par les bras jusqu'à ne plus toucher terre, puis redescendu jusqu'à chevaucher une barre en fer ayant la forme d'un v inversé c'était un chevalet, je chevauchais celle-ci contrainte et forcée pile sur ma fente intime, je grimaçais.

• Vous dans le public, tenez ceci appuyez quand vous voulez ou si je vous le demande et tournez selon l'intensité désirée compris ? Merci

Une voix sadique fit

• oui avec plaisir

Aussitôt la barre s'électrifia je bondis en hurlant encore étouffé par la boule, je touchais des épaules des gamelles en cuivre qui libérèrent de la cire chaude sur celles ci et les seins, les tétons, les pinces, choquée je retombais sur la barre encore plus électrique, jusqu'à émettre un "bzzz", de plus en plus fort, je sentais des arcs électriques me percuter sans que que je touche la barre.

Le publique était morte de rire se délectant de me voir comme une poupée désarticulée qui n'avait nul part ou se réfugier, bondissante, hurlant sans émettre de son audible.

j'étais à deux doigts de m'évanouir après ce qui me sembla une éternité de souffrance et pourtant dans une bain de plaisir masochiste car enfin j'étais satisfaite.

• bien, bien on ne veut pas sa mort et elle a je crois compris la leçon, mais avant de finir, il va falloir enlever les couches de cires,

Le chevalet fit retiré je ne tenais debout que par les bras attachés en l'air, soudain un morceau de cire sauta lorsque des lanières percutaient un peu de peau non couverte.

J'aurais voulu rendre grâce à mon père, littéralement j'eus un orgasme sous l'impact, mon sphincter lâcha en même temps que mon urètre souillant le sol.

Gilles lâcha

• petite souillon, je vais t'apprendre à être propre

Les coups pleuvant sans interruption, je sentis ma peau se déchirer à certains endroits, des goûtes de sang coulant parfois.

C'était trop et j'étais au bord de l'inconscience, il stoppa détectant le bon moment.