non dit

Nous arrivâmes dans un nuage de poussière dans la cour de la propriété, sans un mot il disparut en claquant la portière.

Il se rua dans la salle de sport, je savais que mon intérêt était de ne pas le suivre, je grimaçais en me levant puis j'allais dans ma chambre

Après mettre mis à nu, je regardais dans la glace mes fesses, de larges marques zébraient celles-ci, étrangement je pe sentais émoustillée, comme inassouvie.

je prenais une douche bienfaisante sauf quand le jet touchais mon postérieur devenu très sensible.

M'allongeant sur le ventre et nue la fatigue m'assomma littéralement, une caresse sur mes cheveux me réveilla.

-ma puce pardon, ne refais plus jamais ça tu ne te rends pas compte ce que cela implique pour moi, tu lui ressemble tellement, bon occupons nous de ces fesses pour que demain cela ne soit plus qu'un souvenir, ne bouge pas.

Il se mit à genoux posa une noix d'une pommade dans la paume de sa main, et avec douceur en enduisit mes fesses avec une infinie douceur, son odeur camphrée me renseigna sur son utilité, le soulagement était plus lié à ses caresses qu'aux vertus curatives de la pommade mais au moins c'était mieux que rien

Malgré cela j'étais ai plus profond du désarroi, il se refusait à moi pourquoi mais pourquoi ?

A la fin je me blottis dans ses bras mais à cet instant je n'avais qu'une envie qu'il se réfugie en moi avec la même **** que les coups de ceinture, mais il me refuserait ce qui apaiserait mon tourment.

• tu es punie interdit de sortir de ta chambre et pas de soupé

Ayant dit ça il sortit, je pleurais jusqu'à ce que je tombe dans les bras de morphée et dans un sommeil peuplé de rêves où Gilles réalisait mes plus bas fantasmes mes mains cherchant fébrilement mon intimité pour soulager mon désir.