Je ne dis mot, mais je consens

Voyant que je n'ai rien contre, elle vient s'asseoir entre nous en s'adressant à Bertrand:
"Mon cher beau-papa, je vois que mon mari a déjà goûté à la mère et à la fille! Je présume que tu as envie de faire pareil?"
Elle commence à l'embrasser, à se laisser retrousser sa robe jusqu'en haut des cuisses, peloter les seins que Bertrand sort rapidement de son décolleté pour les bouffer (elle ne porte pas de soutif), le tout en portant une main intéressée vers la bite de mon époux, qui on l'imagine s'est à nouveau bien raidie pendant qu'il me broutait le minou. Elle le branle quelques instants, puis s'agenouille devant lui, et je vois ma petite fille à qui j'apprenais à ne pas dire de gros mots, les seins à l'air et la jupe retroussée mettant en évidence ses bas et ses jarretelles, prendre le sexe de mon mari dans sa bouche et le pomper ardemment. Mon attention est quelque peu détournée par Vincent qui réclame avec insistance un retour de mes services. Je me penche vers lui pour recommencer à le sucer, tout en gardant un oeil sur Angélique qui s'occupe de Bertrand au même rythme que moi, jusqu'à ce que mon gendre, à nouveau bien en forme, me prenne par les hanches et me fasse asseoir sur ses genoux, dos à lui, sa bite coulissant dans ma chatte. Ce que voyant, Bertrand fait lui aussi relever et pivoter ma fille, envoyant promener sa robe et son slip, la met à quatre pattes sur le lit et l'enfile en levrette. Ma fille halète, le visage à quelques centimètres de ma poitrine qui se lève et s'abaisse au rythme des coups de pine de Vincent derrière moi. Elle lève la tête, on se sourit en signe d'encouragement, elle m'embrasse sur la joue, sent le sperme de son mari qui n'est pas tout à fait sec (il m'en a même dégouliné un peu jusqu'à la naissance des seins), le lèche, sa langue vient toucher mes lèvres pendant qu'elle lève une main pour la poser sur mon sein.