Christelle doit sucer Paul

"Je crois que notre ami est prêt pour un nouveau départ," fit remarquer Sam en voyant l'érection de Paul.

"Très juste," dit Marc. "Et puisqu'il a si bien fait jouir la mère, cette fois il va avoir droit à ce que la fille s'occupe de lui."

Il claqua des doigts en direction de Christelle : "Toi, mets-toi à genoux devant lui et prends-le dans ta bouche. Je sais qu'il sort du cul de ta mère, mais ta mère a bien sucé quelque chose qui sortait du tien."

Les bandits détachèrent Christelle qui alla se placer devant Paul, en essayant de rester impassible et de cacher la nausée qui montait en elle.

"Je vous préviens: j'ai déjà sucé un copain ou deux, mais vous trouverez sûrement que j'ai moins d'expérience que ma mère," lui dit-elle en le regardant dans les yeux avant de s'agenouiller.

Christelle ne mentait pas: elle était toujours physiquement vierge, mais à deux reprises elle était sortie avec des garçons qui, s'ils n'avaient pas obtenu son pucelage, l'avaient du moins convaincue de pratiquer une fellation. Une fois elle avait tout avalé, l'autre fois elle avait pris dans la figure, mais dans les deux cas elle avait été écoeurée et avait rompu avec le garçon peu après.

Pourtant, lorqu'elle s'enfila dans la bouche la bite qui avait ramoné tous les trous maternels y compris le plus sale, elle fut surprise d'éprouver de l'excitation. Mélangées à celles de l'homme, elle goûtait les odeurs et les saveurs les plus profondes de sa mère, et elle préféra éviter de se demander lesquelles la faisaient mouiller le plus.

Elle se mit à pomper goulûment son partenaire, lequel, atrocement gêné par le plaisir qu'il sentait remonter, n'osait pas regarder Marie et encore moins Eva. De fait, les deux femmes s'était figées en entendant l'ordre de Marc, et depuis elles n'avaient pas quitté Christelle des yeux.

"Vous deux," intervint le chef des truands, "vous pouvez admirer le spectacle tant que vous voulez, mais que ça ne vous empêche pas de continuer!"

Eva restait immobile, incapable de détacher le regard de son "amant" en train de profaner la bouche de sa fille, laquelle s'y prêtait d'ailleurs ardemment. Marie fut la première à réagir. Voir son fiancé la tromper successivement, fût-ce de manière forcée, avec la mère et la fille, tandis qu'elle-même devait se gouiner avec la mère, recevait son gode dans le cul et y prenait du plaisir malgré elle, c'était trop d'humiliations à la fois. Elle éprouva le besoin de rabaisser sa partenaire en retour.

"J'ai l'impression que ta fille adore la bite de mon homme, elle aussi," glissa-t-elle à Eva avec un sourire lubrique. "Elle est aussi vicieuse que toi. Si j'avais su, tout à l'heure, je lui aurais filé quelques coups de cravache supplémentaires."