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Chapter 18 by Teyla Teyla

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de père en fille

Je vécus pendant une semaine une période idyllique, Phil m'emmena partout au cinéma, au théâtre, au restaurant avec notre petite Manon, il me fit l'amour comme un dieu, jamais je ne pris autant mon pied et découvris mon corps comme jamais, j'arrivais presque à oublier ces moments où j'avais été traitée comme un objet et marquée si ce n'est les traces que je portais désormais.

Londres fut un moment purement romantique et d’affection avec Manon qui me portais chaque jour plus d’attention, j’adorais la prendre dans mes bras quand elle s’endormait épuisée par une journée de découverte et de magie. Comme j’aurais tout donné pour que cela dure mais Phil me rappelait parfois par une brève phrase glissée à mon oreille.

  • Ne rêve pas tu es dans le calme avant la tempête, je n’ai ni oublié, ni pardonné, tu as signé, et toi et ta sœur êtes pareilles vous préférez l’enfer au paradis tu finirais par tout vouloir briser, par ennui ou facilité compte sur moi pour ne pas te laisser le temps de dégénérer comme ta sœur.

Je blêmissais, arrivais à étouffer une appréhension pourtant je sentais mon désir demander en parallèle cet avilissement, je devais être folle même si je me serais fort longtemps contenté de cette passion, était-cela qui avait poussé ma sœur à briser cet amour cette envie d’extrême plutôt qu’une forme d’ennui, quitte à ruiner ce qu’il y avait de plus beau.

Lorsque nous rentrâmes de Londres, je savais que le calme était fini, je rentrais dans la tourmente. Manon était vraiment heureuse elle avait vécu un moment de joie avec moi qu’elle considérait comme sa nouvelle mère et son père qui nous avait offert un moment d’une famille qui manquait tant à la petite, mais les démons de Phil n’avaient jamais cessé de le tourmenter et la façon de me regarder ne trompait guère sur ce qu’il me réservait.

  • Ce soir ma chère tu t’habilleras de manière sexy, je souhaite te présenter à mon club qui est dirigé par le docteur, fais-moi honneur n’est-ce pas ?

Manon nous regardait intriguée mas elle était pressé de retrouver son poney auprès de laquelle sa nurse l’emmena, le regard de Phil ne me laissa d’autre choix de me préparer pour le club, aussi je me préparais au mieux pour au moins n’avoir pas de reproche à avoir de sa part.

Quand l’heure fut arrivée, je me présentais à devant lui et au moins sa réaction fut une compensation, il resta un long moment béat et approbateur il me tourna plusieurs fois autour.

  • Ah là fabuleuse tu es fabuleuse un saint se damnerait pour toi à ce moment, moi c’est déjà fait mais là tu es magnifique.

Il ajouta juste à ma tenue un collier en cuir noir avec un anneau qui ne laissait pas de doute sur la nature de notre relation, je soupirais de subir une nouvelle fois ce qui empêchait une vie apaisée et pourtant quelque chose en moi jubilait et était impatiente de découvrir ce qu’il me réservait.

Une fois ainsi apprêtée, il me baisa la main et m’emmena vers la voiture de luxe, il resta silencieux pendant le trajet qui nous mena à un manoir isolé où le chemin qui y menait était parsemé de torches l’ambiance était d’une beauté irréelle et inquiétante. Il me donna un masque noir alors qu’il en mettait un, je suivis son exemple

Il laissa sa voiture à un serviteur alors que nous montions des marches, de magnifiques femme nues éclairaient, avec des torches qui donnaient à leurs corps une aura magnifique, notre ascension au bout duquel nous attendait le docteur, derrière lui une salle de bal faisait entendre de la musique classique.

Le docteur lui serra la main, puis après m’avoir regardé il me fit le baise main,

  • Vous êtes magnifique ma chère suivez-moi jusqu’au vestiaire

Une autre servante comme les autres prit nos affaires et attribua un ticket à Phil et revint avec une jeune femme à peine majeure avec de grands yeux verts aux cheveux long noirs avec un collier proche du mien avec une laisse. Le Docteur nous dit

  • Voici votre esclave pour la soirée comment voulez-vous l’appeler ma chère ?

J’hésitais ne m’attendant pas à cette question

  • Euh Roxane
  • Intéressant c’est noté quel est ton nom esclave ?
  • Roxane maître
  • Elle vous servira toute la nuit vous pouvez faire d’elle ce que vous voulez sauf dommage permanent bien sûr, elle aime particulièrement les femmes, elle peut être aussi sadique que masochiste. C’est ma fille cadette je suis fière du choix qu’elle a fait et se montre douée je compte sur vous pour l’éprouver au mieux.
  • Parfait mon cher fit Phil nous en ferons bon usage.
  • Je vous laisse je dois accueillir d’autres arrivants je vous ai réservé une de me meilleures tables, vous aurez Antoine et son esclave pardon son épouse qui vous rejoindront, ils ont hâte de connaître celle qui a capté votre intérêt mon cher, je m'amuse à l'avance de voir leur réaction en vous voyant.

Sur ces mots Phil attacha à mon collier une laisse pour ne pas laisser de doute sur notre relation alors que nous suivions Roxane j’étais épouvantée de voir ainsi la propre fille du docteur ainsi avilie et surtout voir sur sa cuisse une marque au fer rouge.

Phil voyant ma curiosité, interrogea Roxane alors que nous nous installions,

  • Ainsi Roxane tu es la fille du bon docteur quel âge as-tu ?
  • Oui maître j’ai eut la majorité le mois précédent, mon asservissement a été mon cadeau d’anniversaire, j’étais si heureuse, j’attendais depuis si longtemps que mon père m’accepte enfin dans le cheptel du club

Phil sourit en me voyant me décomposer devant ses propos.

  • Bien va nous chercher du champagne et du meilleur, elle s’exécuta aussitôt et se dirigea vers le bar au fond de la salle

Sur une estrade, un spectacle se faisait une femme attachez à une statue pilori subissait les assauts d’une file d’hommes qui la prenait par ses orifices avec une esclave qui changeait un compteur à chaque passe, celui-ci annonçait déjà le chiffre 5. Sous les assauts vigoureux la pauvre gémissait mais je n'arrivais pas à savoir si c'était de plaisir ou autre chose.

Phil me dit

  • tu aimerais être à sa place ? un jour je te livrerais peut être à d'autres, on ne donne que ce qui vous appartient réellement cela évite que votre amour ne prenne les devant autant choisir les conditions.

je le regardais épouvantée mais jusqu'où irait-il ?

  • pitié Phil pas ça, je n'appartiens qu'à toi.

sur un ton glaçant,

  • c'est ce que ta soeur me disait aussi, cela n'a pas empêché sa trahison.

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