rédition

Les mains de Madame semblaient être partout où était mon désir, elle savait mieux que moi où mon corps était dans l'attente de la satisfaction de mon plaisir.

J'étais complètement ko devant cet assaut de mes sens, enfin Madame consentit à me délivrer de cet état frustrantqui me barrait l'accès à mon orgasme.

Elle plaça un troisième doigts qui avec l'ongle vint griffer mon intimité, cet assaut supplémentaire fut la goutte d'eau qui m'emporta dans un tsunami orgasmique qui dura aussi longtemps que ma frustration pour être libérée avait durée, c'était comme être dans un cycle essorage d'une machine géante.

Je fus détruite physiquement et mentalement réduite à un loque humaine bavante et gargouillante, c'était trop, plus que je ne pouvais endurer, c'était une drogue dure dont j'espérais n'être jamais sevrée.

Je reprenais mes esprits quand on me passa un linge humide sur le visage et le rest du corps, Madame sourit visiblement amusée quand je prononçait

• Maman que quoi oh pardon Madame qu s'est il passé ?
• tu es plus sensible que je pensais, ton corps a été dépassé par ma sollicitation mon petit ange, c'était spectaculaire et instructif tu as de la marge et ne sera jamais une blasée qui demande de deployer le plus hardware pour qu'elle exprimé son plaisir.

Je tremblais du contrechoc, mes muscles qui s'étaient tendu relâchant cette tension sexuelle.

Elle me couvrit d'une couverture.

-veux-tu que l'on remette à dans une semaine ta décision, car tu as subis un sacré moment.

-non Madame. Je ne veux plus jamais vous quitter j'abandonne tout pour vous appartenir

-ainsi soit-il mon petit cœur si tu veux tu peux m'appeler mère.

Sans effort elle me souleva dans ses bras, abandonnant au sol les lambeaux de ma vie passée. Jusqu'à une roll royce digne d'un conte de fée