J'entre et interromps leurs ébats

En me voyant entrer dans la pièce, Edwige a un petit cri et se désempale précipitamment de sur Paul, laissant sa belle bite luisante entièrement exposée à ma vue.

"Oh, Marie-Claude, tu es réveillée... Pouf... Tu connais Paul, on s'est vus hier... Pouf... Un garçon bien sous tous rapports... Pouf..."

Nous rions toutes les deux avant qu'Edwige n'invite Paul à prendre un verre avec nous au bord de la piscine. Ni lui ni elle n'ont joui, mais s'il en est déçu il n'en montre rien. Il fait disparaître son imposant organe sous un bermuda, tandis que ma soeur enfile une petite robe blanche sans prendre le temps de remettre son slip. Je les précède vers la piscine pour aller récupérer ma propre robe, l'ai déjà boutonnée sur mes seins lorsqu'Edwige et Paul me rejoignent avec un plateau portant une bouteille et trois verres.

Nous trinquons tous les trois, notre invité partageant ses regards entre moi et Edwige dont les tétons bruns sont parfaitement visibles sous sa robe. Elle croise et décroise les jambes, laissant deviner sa toison intime. Le bermuda de Paul

commence à devenir désespérément trop petit.

"On dirait que ma soeur te fait de l'effet," remarque hypocritement Edwige.

Il cherche vainement à dissimuler son trouble, repose son verre fini et ne trouve pas d'autre solution que d'aller piquer une tête dans la piscine.

"Excusez-moi," nous crie-t-il en pataugeant, "mais il fallait que je me rafraîchisse."

"Ne t'en fais pas, tu n'es pas le seul," répond Edwige en faisant glisser les bretelles de sa robe. Le vêtement tombe à terre, et, nue comme au jour de sa naissance, elle entre à son tour dans la piscine. D'un signe, elle m'invite à la rejoindre.