Pourquoi pas?

Nous allons fêter le 31 décembre chez des amis d'Angélique et Vincent, qui possèdent une grande maison. J'ai mis une petite robe noire à bretelles, presque assez courte pour révéler le haut de mes bas et mes jarretelles, et dont le corsage dessine la pointe de mes seins dépourvus de soutien-gorge. Ma fille a un sourire complice en découvrant sa mère dans une tenue sexy assortie à la sienne. Nous nous trouvons au milieu de plusieurs couples, je ne connais personne mais nous faisons connaissance autour du buffet puis en dansant. Vincent est mon cavalier pour une série de slows, pendant lesquels j'éprouve un malin plaisir à sentir sa verge se raidir contre mon bas-ventre, et ses mains glisser vers mes fesses. Arrivés à minuit, nos hôtes coupent les lumières et tout le monde s'embrasse dans le noir en se souhaitant la bonne année. Je sens les lèvres de mon gendre se coller sur les miennes et sa langue s'enfoncer dans ma bouche, en même temps que de la main il me pelote les seins.
Les lumières reviennent, mais tamisées, et les slows reprennent. Vincent et moi n'y tenons plus, il m'entraîne dans une pièce voisine qui se trouve être un bureau. A peine la porte refermée, nous nous embrassons à nouveau frénétiquement, il me fait asseoir sur le bureau et descend ma robe jusqu'à la ceinture pour me dévorer les seins, puis soudain me prend par les hanches et me fait pivoter. Je me retrouve penchée en avant sur le meuble, frissonnant lorsque mes seins se plaquent sur le dessus en verre froid. Vincent relève ma jupe et enlève mon slip, puis s'enfile d'un coup dans mon sexe moite. Je me fais bourrer comme une chienne, à plat ventre sur le bureau, sentant une main de Vincent qui lâche ma hanche pour pénétrer mon sillon fessier, écarter les deux globes, glisser un doigt dans mon petit trou. Il me demande si je veux qu'il fasse comme la nuit d'avant, je réponds oui, sa bite bien lubrifiée sort de mon sexe pour venir distendre mes sphincters, je suis à nouveau enculée par mon gendre qui n'abandonne pas pour autant ma chatte puisqu'il y introduit plusieurs doigts en même temps qu'il me pilonne le cul, et je dois écraser une main sur ma bouche pour ne pas hurler.
A la limite de mon champ auditif, j'entends un bruit de talons aiguilles derrière la porte. Allons-nous être surpris? J'essaie vainement de retrouver mon souffle pour prévenir mon gendre qui ne semble rien avoir entendu, lorsque la porte s'ouvre je tente désespérément de me dégager de lui mais c'est le moment où il me tient plus solidement que jamais, où son sperme gicle dans mon cul et où le plaisir nous emporte tous deux.
Je me retourne, aux trois quarts nue, la chatte trempée, l'anus bâillant, les seins montant et descendant au rythme de ma respiration haletante, pour me trouver face au visage de ma fille.