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Chapter 6 by Gerald F. Gerald F.

Vais-je accepter de devenir le jouet de ces deux coquines?

Oui

Au fil de mes visites, ces deux charmantes vicieuses, dont je pourrais être la mère, jouent avec moi comme à la poupée. En venant dîner chez elles, j'apprends à faire le service en portant un tablier de soubrette et pas grand-chose d'autre, à rester agenouillée devant elles pendant qu'elles mangent, et c'est encore dans une posture d'esclave soumise que je les regarde commencer à échanger leurs caresses incestueuses, jusqu'à ce qu'elles décident enfin de m'inviter à participer...
Ce soir-là, elles ont, comme à l'accoutumée, choisi ce que je devais porter en venant: sous mon tailleur sage, tout petit slip et soutien-gorge pigeonnant, bas et porte-jarretelles. Puis, à peine arrivée, elle m'ont plantée là pour sortir en boîte en m'ordonnant d'attendre leur retour.
Après avoir longuement guetté leur arrivée, je les entends rentrer... mais pas seules. En effet, je les vois pénétrer dans l'appartement, bras dessus bras dessous avec deux jeunes hommes d'une vingtaine d'année, qui paraissent très surpris de me voir plantée au milieu du salon. Il y a un moment de gêne, puis Sandra fait les présentations:
"Maman, on te présente Gautier et Steph, des amis. Notre mère..."
Vous verriez la tête des deux garçons! Quant à moi, j'espère arriver à leur cacher mon ahurissement en découvrant la nouvelle idée de mes deux vicieuses: me faire passer pour leur mère... et pas seulement, comme je m'en aperçois bientôt, pour les présentations. Se dégageant de l'étreinte de Steph, Axelle prend la direction de la chambre, en me posant au passage une main sur l'épaule.
"On tient beaucoup d'elle, mais elle a beaucoup plus d'expérience que nous. Pas vrai, maman?"
Décidant de rentrer dans le jeu, je réponds:
"Eh bien, je ne pense pas que tes amis préfèrent une vieille comme moi..."
"C'est ce qu'on va voir. On vous laisse!"
Et Axelle disparaît aussitôt dans la chambre en compagnie de Sandra. Je les entends qui s'enferment, me laissant seule en compagnie des deux garçons.
Gautier est le premier à comprendre l'intérêt de la situation. J'ai à peine le temps de me retourner vers nos deux visiteurs que je sens sa bouche sur la mienne, sa main se collant sur ma cuisse et commençant à remonter la courte jupe de mon tailleur, tandis que lui et Steph me poussent doucement vers le canapé où je tombe à la renverse. Gautier est agenouillé devant moi, sa main atteint mon slip et le fait glisser jusqu'à terre, ses doigts s'enfoncent dans ma fente déjà trempée, mon excitation doublée par la pensée de ce que Sandra et Axelle doivent être en train de faire ensemble dans la chambre. En même temps, Steph, debout à côté de nous, sort son membre et le pousse contre mes lèvres. Il pénètre, je le suce en même temps qu'il déboutonne ma veste de tailleur et sort mes seins du soutien-gorge. Je sens la bouche de Gautier sur mes tétons, puis sa langue sur ma fente. Il m'a débarrassée de ma veste et de ma jupe, je n'ai plus que mon soutif avec les seins dehors, mes bas, mon porte-jarretelles et mes escarpins. Tout en me faisant lécher, d'une main je guide le sexe que je suce jusque dans le fond de ma gorge. Des ondes de plaisir commencent déjà à partir de mon clitoris quand Gautier enfile un préservatif et, en me tenant par les hanches, se plante d'un coup au fond de moi. Et me voilà ramonée par en haut et par en bas jusqu'à ce que Steph éjacule, et j'avale tout ce que je peux au moment où l'orgasme nous saisit Gautier et moi.
Ma bouche est libérée, je sens du sperme couler sur mes joues, mon menton, mon cou, et mes deux partenaires me retournent à quatre pattes sur le divan. Gautier vient prendre la place de son copain et présenter son sexe, débarrassé de la capote, devant ma bouche encore essoufflée. J'ai à peine eu le temps de l'avaler que Steph, agenouillé derrière moi, m'écarte les fesses à deux mains, et je sens un gland recouvert de latex se poser sur mon orifice anal.
D'accord, Axelle et Sandra avec leur gode m'ont donné l'habitude de cet exercice, mais c'est la première fois que j'ai une vraie bite d'homme, et d'importance, à cet endroit-là. Avec en même temps la main qu'il me fourre dans la chatte, et la bite de Gautier dans le fond de ma gorge, j'ai l'impression qu'il ne me reste plus un centimètre de libre à l'intérieur. Et nous jouissons à nouveau, et me revoilà sur le dos avec Gautier qui attrape mes seins pour se masturber entre eux, pendant que ce vicieux de Steph me donne à sucer la bite qui sort juste de mon cul (d'accord, avant il a enlevé son préservatif, mais quand même...)
Je ne compte plus les orgasmes que j'ai eus avant de m'endormir entre eux sur le divan. Je suis réveillée assez tard dans la matinée par un baiser de Sandra.
"Ils sont déjà repartis, ma chère mère," (elle prononce ces derniers mots avec une grimace moqueuse) "et ils étaient très contents. A propos, est-ce qu'ils t'ont demandé ton prénom?"
"Non."
"A nous non plus, ils ne l'ont pas demandé. Tu vois," dit-elle en se coulant contre moi sur le divan, et en prenant ses bras mon corps qui a gardé l'odeur de mon orgie, "tu avais beau être la mère des deux filles qu'ils draguaient, pour eux tu étais juste un coup à tirer. Et encore," ajoute-t-elle tendrement en me léchant l'oreille, ils ont pris la mère parce qu'ils ne pouvaient pas prendre les filles."
Excitée par ses paroles, je réponds longuement à son baiser, apercevant Axelle qui nous rejoint. Sandra me regarde droit dans les yeux.
"Les prochains, on pourrait les faire payer. Ca nous rapporterait un peu d'argent, et je suis sûre que ça t'exciterait qu'on te paie..."

Mes deux perverses me proposent tout simplement de jouer à la pute pour elles!

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