Oui

Je renfile prestement ma robe et la suis dans une pièce voisine, où pas moins de trois types se lèvent d'un divan pour nous accueillir. Ma guide fait à nouveau glisser ma robe à terre, inspirant aux hommes des commentaires flatteurs sur mon physique "pour une femme de cet âge" (!) En un clin d'oeil, tout le monde est à poil, la fille et moi gardant nos bas, nos porte-jarretelles (oui, elle aussi en avait) et nos escarpins. Et me voilà agenouillée devant deux types assis côte à côte sur le divan, à branler leurs bites pendant que le troisième m'enfile en levrette. Quand il a rempli sa capote de sperme, lui et ses copains me soulèvent pour me basculer à la renverse sur le canapé, et j'ai à nouveau deux bites à branler et à sucer, pendant que l'un de ceux que je masturbais juste avant me mange la chatte et m'élargit le petit trou avec ses doigts. C'est mon orifice anal qui reçoit son membre gainé de latex, et c'est là qu'il jouit pendant que les deux autres me remettent plein de sperme sur la figure, les cheveux, les nibards et jusque sur le ventre. Notre amie (en entendant parler les trois hommes, j'ai appris qu'elle s'appelait Axelle) n'a guère participé jusque là, branlant brièvement une bite quand elle avait l'impression, fausse, que je ne pouvais suffire à la tâche, ou m'embrassant au passage le mont de Vénus ou les tétons. Lorsqu'un type me fait asseoir sur ses genoux, dos à lui, de façon à ce que son mandrin me coulisse dans le cul, et que je me retrouve avec à nouveau deux branlettes et sucettes à distribuer, elle vient tout de même devant moi me brouter le minou, et je jouis en contractant mon bassin autour de la bite de mon pénétrateur qui m'explose dans le fion, pendant que les deux autres larrons me laissent transformée en statue de sperme.
C'est à ce moment qu'Angélique entre dans la pièce. Elle a l'air moins étonné que jamais en me voyant. Derrière elle, par l'encadrement de la porte, j'aperçois mon mari et Vincent. Tous les trois sont rhabillés.
"Tu es là, maman? On te cherchait partout, on pensait qu'il était l'heure de rentrer."