Oui

Nous sommes donc de retour au bar où mon amant me regarde avec passion. On ne se connaît que depuis moins d'une heure, mais notre union dans les toilettes était tellement parfaite que c'est comme si c'est une évidence. J'ai encore envie de lui et il a encore envie de moi. Et nos jeux de regard qui nous déshabille sur place le montre très clairement. De l'autre côté, Karim regarde aussi Clémentine mais il n'y a que du sexe dans son regard, le gars qui veut juste se vider les couilles avec une grosse paire de loches. Clem va sûrement baisé avec lui, même si il a été nul dans leur 'préliminaire' sur la piste de dance, elle baise avec n'importe quoi, alors... Même si nous sommes quatre à boire nos verres, il y a clairement deux groupes: moi et Lorenzo et nos regards sexuelles et sensuelles et Clémentine et Karim avec leurs flirt à deux balles, sans intérêts.

• Ça te dis de finir la soirée chez moi ?

• Avec plaisir.

Je prends ses affaires et le suit, avec un regard de Clémentine qui me susurrera à l'oreille avant que je ne parte: 'Fais moi honneur, dessèche lui bien les couilles'.

C’est main dans la main que nous nous dirigeons chez lui. C’est rare qu’un homme fasse cela. Généralement, il vient chez la fille pour partir ni vue ni connue après qu’elle se soit endormie. Cela m’était arrivé il y a environ deux ans, un mec rencontré en soirée. Je l’avais ramené chez moi après avoir été longuement dragué par cet homme. Je n’avais pas compris qu’il voulait juste tiré son coup, croyant naïvement qu’il s’intéressait vraiment à moi. On a fait l’amour une bonne demi-heure où je m’était déchaîné en cavalière, ma position préférer. Il s’est vidé en moi en prenant son pied avant de s’endormir sans m’avoir fait jouir. Je m’endors à ses coté. Je suis réveillé par une porte qui claque, seule dans mon lit avec ma poitrine couverte de sperme. Ce salaud venait de se masturber sur mes petit seins pendant mon sommeil avant de partir en secret. j’étais dégoûter et je me suis promis de coucher qu’avec les hommes qui me ramèneront chez eux. Ce qui m’arrive pour la première fois. Ce qui prouve qu’il en vaut la peine.

Retour à la réalité : on s’embrasse fougueusement dans son appart, m’entraînant dans sa chambre. On se lâche, il commence à se déshabiller, me montrant un beau corps sportif. J’en fait de même. Je prend ma pince à cheveux et l’accroche au premier truc que je trouve, fait glisser ma jupe puis déboutonne mon chemisier blanc. Après avoir retirer mon string, je le rejoins dans le lit habillé d’un soutien-gorge noir classique. On se positionne en 69 et il lèche mon vagin trempé d’excitation en me caressant et malaxant mon fessier bombé. Il me fait ça tellement bien… J’ai sous ce fameux pénis. Long de dix-sept cm environ et doté d’une largeur convenable, voici le sexe qui m’a rendu folle tout à l’heure. Je passe ma langue sur le gland, l’enroule autour puis l’embrasse avant de titiller le frein. J’embouche son pénis afin de le téter avant de débuter une série de va et viens, je caresse ses testicules lisses et fermes de ma main gauche en masturbant le chibre de ma main droite, en coordonnant le mouvement avec la coulissement de mes lèvres. Je sens des spasmes dans son membre, il apprécie mes caresses buccales.

Je me relève et m’empale sur son sexe pour commencer à le chevaucher énergiquement.

• A mon tour de te faire tourner la tête. Lui dis-je

Je monte et descend mon beau fessier, avec ses mains sur mes hanches pour intensifié la pénétration, je remue d’avant en arrière puis en cercle avant de recommencer à remuer d’avant en arrière. Je m’allonge sur lui pour l’embrasser en continuant mon haut en bas. Ses mains caressent mon dos humide avant de dégrafer mon seul vêtement. Je me redresse pour le faire glisser le long de mes bras et il le récupère pour le jeter puis redresse sa tête pour venir embrasser mes petits seins, qui sont à mon goût que trop ‘trop’ rarement léchés. Les langues masculines préférant les bonnet D au bonnet A. Ma main à l’arrière de son crane à lui caresser sa chevelure brune, continuant les mouvements de mon fessier, pendant qu’il mordille mes tétons qui pointent fermement. Je jouis la première , peu de temps avant lui « Haaaannnnnnn» avant de le sentir de me remplir à nouveau dans un grognement, avec toujours un sein, mon sein à la bouche.

Nous nous embrassons, il me caresse les cheveux, mon cou, mes épaules. Je donne des baisers dans son cou. Exténué, je m’endors ainsi : allongé sur Lorenzo, son sexe encore planté dans le mien, ses bras m’enlaçant. Une main sur ma fesse droite, l’autre sur mon omoplate gauche, et ma tête poser dans le creux de son épaule.